Les nouveaux films en Vidéo en Poche

Logo Vidéo en PochePour faire un beau cadeau à Noël, pas cher et original, venez au ciné remplir une clé USB avec des films Vidéo en Poche, il y en a pour tous les goûts et les âges. 5€ par film, sans DRM et en HD quand c’est possible, la résolution minimale étant celle d’un DVD (quand même, l’intégrale de Bill Plympton, ça aurait de la gueule et ça tient sur une 8Go). Vous pouvez consulter sur le site le catalogue complet des films disponibles : www.videoenpoche.info (pour plus de précisions sur la lecture des films, voir la page d’aide sur le site Video en Poche). Ci-après, voici quelques titres parmi les nouveautés…

Braqueur.jpgLE BRAQUEUR (en HD et VOSTF), réalisé Benjamin Heisenberg : polar à la fois glaçant et trépidant, rejetant toute psychologie pesante, toute explication réductrice, le film est pur mouvement. Course haletante. Benjamin Heisenberg oppose avec brio l’impassibilité du héros (extraordinaire Andreas Lust), insaisissable au propre comme au figuré, et le mouvement perpétuel d’une fuite éperdue, une vraie leçon de cinéma.
Dès qu’il sort de prison, la seule aspiration de Johann est de courir, toujours courir. Il participe avec succès au marathon de Vienne. Mais il faut plus qu’un marathon, aux règles et au parcours trop balisés, pour satisfaire sa soif insatiable de mouvement, sa recherche de la maitrise sur l’espace, son aspiration à repousser les limites de sa liberté. Et le moyen qu’il connait le mieux pour aller plus loin, pour passer les bornes, ce sont les braquages… (pour plus d’infos sur le film, voir la page de présentation sur le le site de Vidéo en Poche)

Soldat-de-papier.jpgSOLDAT DE PAPIER (VOSTF) - Lion d’Argent, Mostra de Venise 2008 : c’est aux hommes de second plan que s’intéresse Soldat de papier, pas à ceux que l’Histoire a retenus. La conquête spatiale a produit ses mythes et ses héros. Et bien que le film relate le voyage de Youri Gagarine en 1961, premier homme à être allé dans l’espace (à voir aussi, Gagarinland, documentaire insolite et plein d’humour sur la Russie d’aujourd’hui, complément idéal à Soldat de papier), c’est à un autre protagoniste qu’on s’intéresse ici, puisque le récit se concentre essentiellement sur le médecin des astronautes, Daniel Pokrovski. Ce que réussi admirablement Alexeï Guerman Jr, c’est de nous restituer ces sentiments complexes, où la gloire triomphante côtoie la débâcle pathétique, dans un film en forme d’élégie sur le temps et l’amour, la critique du pouvoir et le progrès. Programme chargé a priori, mais soutenu par la force de la mise en scène, d’une beauté radicale, à l’expression profondément russe, embuée de colère et de larmes. La steppe kazakh qui sert de décor principal y est pour beaucoup : paysage de désolation filmé avec une paradoxale majesté. (pour plus d’infos sur le film, voir la page de présentation sur le le site de Vidéo en Poche)

Kes.jpgKES (en HD et VOSTF) Réalisé par Ken Loach : Billy Kasper, petit bonhomme malingre et vivace comme une mauvaise herbe, mal poussé dans les vilains quartiers pauvres d’une ville minière, porte ses quinze ans comme son blouson trop étroit… Alors, Kasper le mal aimé, Kasper s’échappe de l’enfer, par l’amour d’un petit faucon cécerelle, sur lequel il transpose tous ses besoins d’être reconnu, aimé. Il invente avec lui des rapports qu’on ne lui avait jamais appris, faits d’attention à l’autre, de respect, de tendresse… enclave heureuse où s’expriment toute son imagination, toute son intelligence, tout son talent : autant de dons qu’on ne lui reconnaît ni dans sa famille, ni à l’école. Classique indémodable de Ken Loach, c’est beau, c’est émouvant, on se sent en sortant le coeur un peu plus grand, et on se dit qu’un tel cinéma, en plus du plaisir qu’il donne, ça doit bien laisser dans nos vies une petite trace… (pour plus d’infos sur le film, voir la page de présentation sur le le site de Vidéo en Poche)

Monde-sans-eau.jpgUN MONDE SANS EAU ? (VOSTF), documentaire de Udo Maurer : trois exemples emblématiques de la relation qui unit l’homme et l’eau, au Bangladesh, au Kazakstan et au Kenya : des inondations à l’assèchement de la mer d’Aral ou encore à la bataille journalière pour la recherche d’eau potable, le film montre les obstacles que doit surmonter l’homme pour s’adapter… Udo Maurer explique : « est-ce que chaque homme a droit à l’eau sur terre ou est-ce un bien de consommation ? De grandes entreprises traitent l’eau comme une marchandise alors que les ONG la distribuent, car elles estiment que c’est un droit dévolu à chaque être. Nous aurons la réponse à cette question fondamentale dans une dizaine d’années. » (pour plus d’infos sur le film, voir la page de présentation sur le le site de Vidéo en Poche)


Impression-de-montagne-et-d_eau.jpgPour Noël, parmi les nouveautés on vous propose notamment quelques films pour les plus jeunes :

Impression de montagne et d’eau et autres histoires : si vous voulez faire découvrir à vos enfants la beauté à l’état pur, voici l’occasion rêvée. Ce programme d’animation chinoise est une splendeur. Les Studios d’Art de Shanghaï, producteurs de ces quatre films, existent depuis la fin des années 1940 et réunissent artistes peintres et dessinateurs célèbres qui tous aspirent à créer pour les enfants des œuvres aussi belles que possible pour leur faire découvrir le monde qui les entoure et les initier aux richesses de l’art pictural. (pour plus d’infos sur le film, voir la page de présentation sur le le site de Vidéo en Poche)

Homme-qui-plantait-des-arbres.jpgL’homme qui plantait des arbres, de Frédéric Back, texte de Jean Giono dit par Philippe Noiret - Oscar 1987 à Hollywood - Grand Prix des festivals d’Annecy, Los Angeles, Royan, Hiroshima, Valladolid, Ottawa… Ce film court d’animation (30mn) est suivi d’un entretien avec Jean Giono, et un portrait de Frédéric Back (durée totale : 1h24) : ceci est une grande histoire. Ceci est une grande et belle et bonne histoire. Pour donner à penser, pour donner à rêver, pour donner des raisons de croire en l’homme, en l’homme seul qui peut déplacer des montagnes pourvu qu’il ait une petite cuiller et beaucoup d’obstination. (pour plus d’infos sur le film, voir la page de présentation sur le le site de Vidéo en Poche)

Katia-et-le-crocodile.jpgKatia et le crocodile : film d’une liberté de ton unique, absolument jubilatoire et jamais mièvre, Katia et le crocodile est devenu un classique indémodable, sans doute le premier burlesque pour enfants ! Katia, petite fille de huit ans, s’ennuie, assise sur les escaliers de pierre d’une rue du vieux Prague. Quelques instants plus tard, elle se verra confier par un garçon inconnu un (vrai) petit crocodile, un singe macaque, des lapins angoras, un oiseau qui parle, une tortue et des souris blanches. Jusqu’au soir de cette journée de vacances, un vent de folle fantaisie va s’emparer de la ville – enfants par dizaines, vieillards regroupés en orchestre du troisième âge, pompiers, anciens combattants, marchand de ballons… (pour plus d’infos sur le film, voir la page de présentation sur le le site de Vidéo en Poche)


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