Une utopie pourrie… (suite et fin)
Résumé des chapitres précédents : Yann Moix en vadrouille à Avignon à l’été 2009, lit dans la gazette d’Utopia le texte concernant le film Le temps qu’il reste et, se laisse aller le lendemain dans Le Figaro à un texte d’humeur. Une association communautaire d’Avignon, encouragée par l’article de Moix intente un procès à Utopia Avignon pour « incitation à la haine raciale ». L’association est déboutée, mais tous les Utopia réalisant ainsi la portée d’un tel article assignent Moix et le Figaro en justice pour « délit d’injure publique ». Bernard Henri Levy, Le Crif, l’UPJF (l’Union des Patrons Juifs de France)… soutiennent Moix et relaient son texte. L’audience se tenait le 14 septembre 2010 à la 17e chambre correctionnelle à Paris et le jugement a été rendu le 19 octobre. Nous apprenons ce jour que ni Moix, ni Le Figaro ne feront appel.