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dimanche, décembre 11 2011

Espèce(s) de corps

Le 8 décembre dernier à Toulouse, les spectateurs se sont prêtés à une expérience, suite à la projection d’Espèces de corps, film documentaire traitant de la réappropriation de l’espace public à travers la danse. Le réalisateur et chorégraphe, Frédéric Jollivet, a invité le public à quitter la salle 1 d’une manière défiant les lois de l’espace et du temps. Voici le petit film de 7 minutes issu de cette expérience.

dimanche, décembre 4 2011

DONOMA : Les chansons de MARINO

Marino dessinEn bonus du précédent billet sur DONOMA, la vidéo du boeuf improvisé de Marino, accompagnée de toute l'équipe du film, sur le trottoir d'Utopia Toulouse après la projection...

C'est l'occasion pour nous de remercier toute l'équipe avec qui nous avons partagé de bons moments !

mercredi, novembre 23 2011

Donoma Guerilla Tour à Toulouse (vidéo et photos)

DonomaLa joyeuse équipe du Donoma Guerilla Tour, qui sillonne la France dans leur bus customisé pour présenter leur film Donoma a fait escale dans nos salles lundi 15 novembre pour une avant-première mémorable (le film sort aujourd’hui en salles !). En fin de billet vous trouverez la vidéo et des photos de la rencontre avec l’équipe du film.

Donoma, c’est une sorte de vent frais et d’espoir dans le paysage cinématographique actuel. Un film libre, bourré d’énergie, fait par une bande de jeunes impatients qui ont préféré forcer les portes du cinéma plutôt que d’attendre sagement leur tour. Donoma, c’est une expérience collective, l’envie d’un jeune réalisateur de fédérer autour de lui une troupe soudée et créative, qui lui ont permis non seulement de dépasser les contraintes budgétaires d’un premier long-métrage, mais aussi de décupler l’énergie nécessaire à faire naître, évoluer et aboutir ce projet. Donoma, c’est aussi l’envie de faire vivre ce film collectif, de le partager avec un public sans forcément passer par les circuits balisés habituels, une nouvelle façon de penser le cinéma et de le diffuser.

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jeudi, octobre 20 2011

«Squat, la ville est à nous» Après l'avant première…

Une salle pleine! Certains n'ont pas pu entrer.

 244 personnes, pas un seul élu… SQUAT.gif

Mais on ne désespère pas, peut-être un jour viendront-ils sur le terrain. En tout cas nous sommes ressortis pleins d'entrain et dans une bonne dynamique de cette rencontre avec Christophe Coello le réalisateur du film Squat et nos camarades squaters toulousains. Merci à vous tous d'être venus en nombre et d'avoir soutenu le film. On en a besoin aussi pour que la culture ne se limite pas à quelques avatars…
ça donne envie que l'aventure continue!

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mardi, octobre 11 2011

La révolution ne sera pas plus télévisée à Toulouse qu'à Wall street…

CREA réquisition« Le peuple a construit ces bâtiments rendons-les à ses enfants » C'est sur cette beau slogan que 130 personnes ont réquisitionné un nouveau bâtiment situé 5 rue Goudouli. Vous connaissez le CREA ? Alors, il est peut-être temps d'aller y jeter un œil. C'est par-là que ça se passe, à deux pas de chez vous et c'est là qu'on a besoin de votre soutien ! Je vous explique… Le CREA  c'est un collectif de gens lambda. Comme vous, comme moi. Quatre petites lettres pour résumer quatre grandes idées : Collectif pour la Réquisition, l'Entraide et l'Autogestion. Tout un programme bien plus clair que certaines politiques publiques, celle du logement social, notamment. Le principe est simple. Il ne s'agit pas de déloger Pierre pour loger Paul.

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jeudi, octobre 6 2011

Donoma, le cinéma guerilla

DonomaLundi 14 novembre à Utopia Toulouse, ne manquez pas l’avant-première de Donoma, film à la liberté de ton stupéfiante, film générationnel produit en dehors des circuits traditionnels et bourré d’une énergie qui n’a eu de cesse à chaque projection de conquérir les spectateurs des nombreux festivals où ce film a été montré depuis Cannes où on l’avait découvert en 2010. Donoma sort en salles le 23 novembre : enfin, « le jour est là ! » (signification en langage sioux de Donoma)

Comment faire du cinéma quand on est noir, fauché et sans piston ? (extrait de l’article de Pascal Tessaud sur Le Sens des Images) : « Comme à l’habitude de le dire le réalisateur Djinn Carrénard : le portrait robot du réalisateur français moyen de long métrage est un homme blanc, parisien “intramuros”, d’un milieu aisé et connecté au réseau depuis dix ans. Faire du cinéma comme Donoma, à l’arrache, sans demander l’autorisation au milieu, avec ses tripes, c’est un pied de nez au scepticisme et au désespoir ambiants, un formidable encouragement pour les futurs réalisateurs qui n’appartiennent pas au sérail et qui souhaitent s’exprimer librement.

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lundi, octobre 3 2011

Squats Toulousains. L'émergence en voie de disparition? Et bien non!

Hey, la Mairie de Toulouse! On aimerait comprendre… 9_la_charmante_standardiste.jpg

Comment se fait-il qu'en deux mois et demi, vous n'ayez pas trouvé le temps de répondre au courrier d'Émergence et de les recevoir?
Alors on préfère expulser au lieu de dialoguer? Noyer l'Émergence dans l'œuf? Ce petit squat bien sympa et convivial qui n'avait que quelques mois d'existence… Un lien vers démosphère et la pétition en ligne! Et vous pouvez rencontrer l'équipe de l'Émergence le 18 octobre lors de la projection du film squat!

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mardi, juin 7 2011

Vente d'affiches au profit de la galerie GHP

DranVente d’affiches à Utopia Toulouse samedi 25 et le dimanche 26 juin de
14h à 20h au profit de la galerie GHP qui oeuvre depuis 5 ans à soutenir la création toulousaine. Elle est aujourd’hui menacée de fermeture par manque de
moyens. Le collectif GHP tiendra le stand pendant ces deux après-midi dans le hall ou devant le cinéma (selon la météo).

Venez les soutenir, il y aura toutes nos affiches de films de l’année écoulée et bien d’autres encore, des sérigraphies, stand street-art, etc...

La galerie GHP annonce une fermeture définitive au 31 juillet 2011. GHP est unique en son genre dans le paysage toulousain, jamais un lieu n'a été autant réinvesti à chaque exposition. S’efforçant de réunir toute la crème de la création (Dran, Tilt, Miss Van, Winshluss...) ainsi que la nouvelle garde, autour de l'art graphique, de l'illustration et j'en passe. La galerie est menacée de fermeture par manque de moyen et suite à une indifférence (que l'on espère au moins gênée) de la part des collectivités.

A cette nouvelle, un comité de soutien a été crée, indépendant de la galerie, afin que ce lieu d'effervescence artistique puisse continuer à faire découvrir et à soutenir la jeune création contemporaine à Toulouse. Depuis 5 ans, GHP a su s'imposer comme un lieu majeur dans le paysage culturel toulousain tant au niveau de la création, de la diffusion, de l'édition, qu'au niveau de l'échange avec le public et des interactions entre les acteurs culturels. La pétition donne la possibilité à chacun d'interpeller les institutions concernées sur les séquelles engendrées par la fermeture d'un tel lieu.

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mercredi, février 16 2011

LA CASA MUDA (The silent house) par son réalisateur...

LaCasaMudaComment est né le projet ?

De mon envie de réaliser un long métrage, après les formats courts auxquels je suis habitué, et de la passion de mon associé Gustavo Rojo pour les films d’épouvante. Nos collaborateurs sur le film sont les mêmes que ceux qui travaillent avec nous dans la publicité, sur les courts-métrages et sur les clips musicaux. Par exemple, je connais Pedro Luque, le directeur de la photographie, depuis l’École de Cinéma, et nous travaillons ensemble depuis plus de 8 ans. Nous partageons le même goût du risque, sur chaque projet. LA CASA MUDA a été tourné en 4 jours avec un budget de 6000$, quatre acteurs et une maison, avec pour seul but de créer une tension et de la peur chez le spectateur.

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mercredi, décembre 29 2010

(Dé)Faites le mur : le street-art à l’affiche

gaza2Les amateurs de street-art comme les néophytes seront comblés avec deux films en programmation qui gravitent autour de ce sujet, même si les présenter seulement sous cet angle serait certainement réducteur : Faites le mur de Banksy et Women are Heroes de JR. Engagés, émouvants et drôles.

Le « street-art », l’art qui sort du musée, et se retrouve en bas de chez vous. Le street-artist, au grand dam de nos sociétés, va à l’encontre de la notion de propriété. Considéré comme un délinquant lorsqu’il se réapproprie l’espace public, son action, parfois à la limite du vandalisme, va de la peinture élaborée au pochoir, en passant par le collage ou le graffiti. Cette tribune grandeur nature visant un large public, déjà subversif dans le non-consentement, est l’étendard d’artistes contemporains majeurs. Par-delà les frontières, dans ces villes où se côtoie aussi bien l’immeuble hideux que la prouesse architecturale, quelques trublions arrivent des idées plein la tête, tentant d’agrémenter cette anarchie structurelle.

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