Mot-clé - racisme

Fil des billets - Fil des commentaires

mercredi, septembre 7 2011

En mémoire des victimes du 17 Octobre 1961

17 octobre 1961Le collectif Générations Spontanées propose un après-midi de rencontres et débats le 29 octobre à partir de 14h, Salle du Sénéchal à Toulouse (métro Capitol) : La continuité de la république coloniale, du massacre d’Algériens et d’Algériennes en France à l’acharnement raciste et Islamophobe.

14h - Présentation du collectif

14h30 - Les femmes face à l’oppression raciste et islamophobe : Ismahane Chouder, secrétaire générale de la Commission Islam et Laïcité, co-présidente du Collectif Féministes Pour l’Egalité, et coauteure du livre Les filles voilées parlent, La Fabrique 2008. « Cinq ans qu’une loi scélérate, censée (faut-il le rappeler) ne s’appliquer que dans le cadre des établissements scolaires du 1er et du second degré, sert de prétexte aux interprétations, aux extrapolations les plus ahurissantes, les plus saugrenues, les plus farfelues les plus illégales !

Lire la suite...

vendredi, avril 10 2009

Et le racisme rentre dans les consciences…

Une étudiante en thèse licenciée pour faute professionnelle sous prétexte du port d’un voile

Pour signer la pétition: www.soutien-sabrina.org

Contacts: comitesoutiensabrina@gmail.com

Sabrina T. est actuellement doctorante en 3ème année de thèse au laboratoire de Microbiologie et de Génétique Moléculaire (LMGM) du CNRS à l’Université Toulouse III. Depuis son entrée au collège, Sabrina s’est destinée à une carrière scientifique. Issue d’un milieu modeste, elle a bénéficie de bourses, mais a aussi travaillé durant les vacances scolaires. Durant ses années d’études universitaires, elle a assuré des gardes de nuit dans des laboratoires d’analyses médicales pour compléter cette aide. Il y a 4 ans, alors qu’elle était en Master I, elle a choisi de porter un voile. Elle portait le voile lors de son stage de Master II, en 2006, et lors du concours d’attribution des bourses de recherche, concours à l’issue duquel elle a pu commencer sa thèse dans l’équipe dans laquelle elle a effectué son Master II. Sa bourse, un CDD de 3 ans, est gérée par l’université. A aucun moment il n’a été fait allusion au foulard qu’elle portait. Bien intégrée dans l’équipe de recherche, Sabrina menait une vie sociale normale. En mars 2008, alors qu’elle déjeunait avec deux collègues à la cantine du CNRS, elle a été brutalement prise à partie par une personne sur ce campus, qui après lui avoir déclaré qu’elle n’avait pas le droit de porter le voile, lui a demandé qui elle était, de quel laboratoire, et qu’elle avertirait immédiatement l’administration du CNRS. Ce qu’elle fit…

Lire la suite...