vendredi, octobre 19 2012
Il peignait une pirogue… (témoignage)
Par Rodolphe le vendredi, octobre 19 2012, 13:08
vendredi, octobre 19 2012
Par Rodolphe le vendredi, octobre 19 2012, 13:08
samedi, mars 17 2012
Par Fred31 le samedi, mars 17 2012, 10:00
Le 15 février 2012, sortait la copie restaurée inédite du chef d’œuvre intemporel de Jean Renoir : La Grande Illusion. On doit ce travail de restauration à la Cinémathèque de Toulouse et à Studio Canal qui ont numérisé le négatif nitrate pour redonner son éclat originel au film. Mais ce travail n’aurait pu voir le jour sans les archives nationales russes (Gosfilmofond) qui ont permis le retour de ce négatif en France.
A compter du 21 mars 2012, vous pourrez (re)découvrir cette merveille en 35mm sur les écrans d’Utopia à Toulouse puis à Tournefeuille. Mais en attendant, pour en savoir plus sur Jean Renoir et surtout sur cette restauration, vous pouvez écouter, en annexe de ce billet, l’émission 35mm de plus diffusée sur l’antenne de Radio Radio où l’animateur Thomas Cuvelier s’entretient avec Pierre Cadars, ancien délégué général de la Cinémathèque de Toulouse.
vendredi, octobre 9 2009
Par Rodolphe le vendredi, octobre 9 2009, 20:53
Simone Bitton, racontait aujourd'hui de Jérusalem, sur le site de Rue89, le parcours chaotique pour présenter son film Rachel ce soir à Ramallah (nous recevrons Simone Bitton pour l'avant-première de son film mardi 20 octobre à 20h30 à Toulouse). Voici son texte qu'il nous semblait utile de reproduire ici :
« Les bobines de Rachel sont arrivées à Ramallah ! Sans moi pour le moment, mais je les rejoindrai bientôt. Il faut savoir qu'en tant que citoyenne israélienne, je n'ai le droit de me rendre dans ville palestinienne de Cisjordanie. La raison officielle de cette interdiction relativement récente est sécuritaire : l'armée considère que tout civil israélien circulant dans une ville palestinienne est une cible ambulante de kidnapping ou d'assassinat. C'est arrivé, même si les cas sont très rares et se comptent sur les doigts d'une seule main en dix ans. La seconde raison de cette interdiction, c'est bien sûr d'empêcher toute relation d'amitié ou de solidarité, et de transformer en délinquants les Israéliens de mon espèce, qui s'obstinent à vouloir montrer aux Palestiniens un autre visage que celui des soldats qui les assiègent et les humilient.