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La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

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MICHAEL ROEMER, AN AMERICAN TRILOGY

Du 17/05/23 au 05/06/23

L’histoire du cinéma n’est pas gravée dans le marbre, et il arrive parfois qu’une œuvre hier encore inconnue vienne heurter de plein fouet la conscience cinéphile.

C’est un événement de cet ordre qui se produit concernant Michael Roemer, cinéaste américain non identifié, dont trois films surgis de nulle part sont aujourd’hui distribués
par Les Films du Camélia : Nothing but a man (1964), vibrant tableau de la condition noire américaine, The Plot against Harry Plotnick (1970), décapante comédie juive new-yorkaise, et Vengeance Is mine (1984), drame féminin aux accents gothiques. À les découvrir en copies restaurées, ces trois films saisissent par leur beauté inhabituelle, leur sensibilité à rebours des standards américains, leurs articulations subtiles et l’épaisseur des personnages. (M. Macheret, Le Monde)


  • NOTHING BUT A MAN

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Ils sont une petite bande de cheminots itinérants, qui terrassent, posent des rails et fixent des traverses, sillonnent le pays selon le programme de développement du chemin de fer. Leurs baraquements de fortune se suivent et se ressemblent, de ville en bourgade, du nord au sud et d’est en ouest. Peu de trêves, peu de repos, un travail très physique et pas d’attaches, en contrepartie d’un plutôt bon salaire – et une réputation de bad guys infréquentables qui leur colle à la peau. Noire, la peau.... (lire la suite)


  • THE PLOT AGAINST HARRY

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Harry Plotnick n’a vraiment pas de chance. Petit bookmaker à la manque, il n’a fait que 9 mois de prison, mais cela a suffi pour qu’il retrouve tout son univers à la dérive. Son petit racket dans le Bronx (il employait démocratiquement Juifs, Blacks, Latinos et Asiatiques) est au bord de l’effondrement. Il ne peut même pas s’offrir un interlude langoureux avec une blondinette prostituée sans que sa sœur aînée fasse irruption dans la chambre avec un vaporisateur pour lui soigner son rhume. Mieux ... (lire la suite)


  • VENGEANCE IS MINE

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    En 1984, Roemer tourne Vengeance is mine, un dernier long métrage qui semblait, jusqu’à ces dernières années, perdu. Changement de décor, puisque l’action du film se déroule à Dover, une petite ville de bord de mer dans le New Hampshire. Ici, c’est la famille que le cinéaste ausculte à travers un drame qui pourrait tourner au film d’horreur. L’héroïne, Jo (superbement campée par Brooke Adams), enfant adoptée, revient sur les lieux de son enfance malheureuse. Mais alors que l’on pense assister ... (lire la suite)