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Le blog des profondeurs...
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La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

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TRAVAIL AU NOIR

(MOONLIGHTING) Écrit et réalisé par Jerzy SKOLIMOWSKI - Angleterre 1982 1h37 VOSTF - Avec Jeremy Irons, Jiri Stanislav, Eugene Lipinski, Eugeniusz Haczkiewicz... Prix du Meilleur Scénario, Festival de Cannes 1982.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

TRAVAIL AU NOIRTourné à Londres, comme Deep end, Travail au noir est un chef-d’oeuvre en mineur, en douce, par la bande, un chef-d’oeuvre au noir. Comédie grinçante et sarcastique, tragédie humaine en même temps que fable politique, le film captive par l'intelligence acérée de son scénario, par la maîtrise de sa mise en scène, incisive, épurée, sans une once de gras.
Décembre 1981, quatre ouvriers polonais débarquent à Londres pour le compte d'un riche compatriote qui fait rénover à bon compte sa demeure british en les embauchant au noir. Les travaux doivent durer un mois et les quatre hommes toucheront l'équivalent d'un an de salaire dans leur pays.
Le contremaître, Novak (Jeremy Irons, génial), est le seul à comprendre et parler l'anglais et il se charge de tous les rapports avec l'extérieur : les courses au supermarché du coin, les relations orageuses avec les voisins de ce quartier bourgeois qui regardent d'un œil soupçonneux l'activité fébrile qui règne dans la maison, de l'aube à la tombée de la nuit, sept jours sur sept…
C'est bien sûr Novak, et seulement Novak, qui apprend le 12 décembre par la radio que l'état de siège a été décrété en Pologne, que le général Jaruzelski a pris le pouvoir et que le syndicat Solidarnosc est interdit. Il décide de cacher cette information à ses camarades, de crainte qu'ils abandonnent dare-dare le chantier pour rentrer au pays…