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Le blog des profondeurs...
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La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

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DEEP END

Écrit et réalisé par Jerzy SKOLIMOWSKI - GB / Pologne 1970 1h31 VOSTF - avec Jane Asher, John Moulder-Brown, Karl Michael Vogler, Christopher Sanford, Diana Dors... Musique de Cat Stevens et Can - Version restaurée – Copie neuve.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

DEEP ENDDeep end, c’est le condensé envoûtant de ce que furent les paradoxes des années 70. Parce qu’on y retrouve l'incroyable esthétique pop et psychédélique de l'époque, dans chaque plan, dans chaque trouvaille d'une mise en scène brillantissime, mais aussi parce que Deep end expose à merveille cette atmosphère troublante de fantasmes sexuels, d’une certaine amoralité assumée, de fin de l'innocence, à l’opposé des swinging sixties londoniennes, tout en insouciance bourgeoise et bonbon rose. Un film où amour, sexe et mort vont se jouer dans un lieu quasi-unique et ô combien symbolique, territoire des possibles les plus inavouables : un établissement de bains publics de l’East End londonien, le quartier canaille…
Le joli Mike, 15 ans, vient d’être embauché pour être le gardien du secteur des hommes. Susan, sa jolie collègue rousse, va vite le mettre au parfum : s’il veut s’assurer quelques honorables pourboires, il devra se résoudre à être très compréhensif avec les dames qui souhaiteraient qu’il s’attarde dans leurs cabines… Susan, quant à elle, semble ne rien trouver à redire à faire de même avec les hommes…