LA GAZETTE
(à télécharger au format PDF)

NOUS TROUVER
(et où trouver la gazette)

NOS TARIFS :
TARIF NORMAL : 7,50€
CARNET D'ABONNEMENT : 55€ (10 places, non nominatives, non limités dans le temps, et valables dans tous les Utopia)
Séance avant 13h : 5€
Moins de 18 ans : 5€

RSS Cinéma
RSS Scolaires
RSS Blog

(Quid des flux RSS ?)

EN DIRECT D'U-BLOG

Le blog des profondeurs...
(de champ)

La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

Soutenez Utopia Palmer

ROBERTO GAVALDON, 5 FILMS DE L’ÂGE D’OR DU CINÉMA MEXICAIN

Du 29/12/21 au 01/02/22

Surnommé le « roi du mélodrame » (étiquette hâtive et réductrice) et néanmoins presque totalement méconnu en France, Roberto Gavaldón (1909-1986) est l’un des pionniers de l’âge d’or du cinéma mexicain. Ses personnages tourmentés, en proie aux sentiments les plus ardents allant jusqu’à l’obsession et la révolte, et son style inspiré du film noir américain en font un grand peintre de la passion. C’est une vraie découverte que nous offrent les Films du Camélia, à travers cinq de ses films les plus marquants (il en a réalisé plus de cinquante en plus de quarante ans de carrière).


  • En collaboration avec Miradas Hispanas, les projections de La Déesse agenouillée du mercredi 12 janvier et de Double destinée du mardi 18 janvier à 18h15 seront suivies d’une discussion avec des membres de l’association.

    DOUBLE DESTINÉE

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Maria, une employée sans le sou, assassine sa sœur jumelle, Magdalena, une riche bourgeoise récemment veuve, pour profiter ainsi de l’immense fortune dont elle vient d’hériter… Dans ce grand mélodrame noir, Gavaldón fait appel à Dolores Del Río pour le rôle principal, une actrice formée comme lui dans le Hollywood du muet… Il s’agit ici d’un suspense, avec un crime passionnel, auquel participent des sœurs jumelles jouées par la même comédienne. Dans ce film, photographié de manière magistrale ... (lire la suite)


  • JOURS D’AUTOMNE

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Luisa quitte sa campagne pour travailler à Mexico dans la pâtisserie de Don Albino, qui lui fait gentiment les yeux doux. La jeune femme, qui ne rêve que de trouver un époux et de fonder une famille, se réfugie dans le mensonge pour tromper la solitude et l’isolement. C’est bien Luisa qui est au centre de l’histoire, à une époque où les films noirs de l’autre côté de la frontière, à Hollywood, sont la plupart du temps portés par des hommes. Il est ici question d’une innocente jeune femme venue ... (lire la suite)


  • En collaboration avec Miradas Hispanas, les projections de La Déesse agenouillée du mercredi 12 janvier et de Double destinée du mardi 18 janvier à 18h15 seront suivies d’une discussion avec des membres de l’association.

    LA DÉESSE AGENOUILLÉE

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Pour célébrer son anniversaire de mariage, Antonio, un riche aristocrate, organise une fête au cours de laquelle il offre à son épouse, Elena, la statue d’une femme nue agenouillée. Le modèle se trouve être Raquel, la maîtresse d’Antonio invitée à la fête, qui souhaite rompre avec son amant… Dans ce film, Gavaldón revient à sa prédilection pour le récit noir… Ce qui est intéressant dans la trame du récit est la minutieuse construction de l’archétype de la femme fatale… Une fois de plus, l’iron... (lire la suite)


  • LA NUIT AVANCE

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    La Nuit avance suit donc le parcours de Marcos Arizmendi, un joueur de Jaï-alaï (pelote basque) moralement répréhensible, qui traite son entourage, et surtout les femmes qui l’adorent, avec mépris. Lorsqu’il refuse les avances d’un maître-chanteur qui voudrait le faire peser sur l’issue d’un match important, il entre dans une spirale vertigineuse de débauche et de délinquance. Ici, Gavaldón explore la désillusion sociale, la violence et le meurtre, sur fond de nuit sans fin, au cœur de Mexico, ... (lire la suite)


  • MAINS CRIMINELLES

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Un charlatan se fait passer pour un voyant afin d’escroquer les clientes de l’institut de beauté où travaille sa femme. Il tente de faire chanter l’une d’elles qu’il soupçonne d’avoir tué son mari… À l’écriture de Mains criminelles participe Luis Spota, un chroniqueur urbain remarquable qui révèle les vices de la bourgeoisie mexicaine des années quarante. Mains criminelles est un très bon exemple de la maîtrise narrative du cinéaste. Remplaçant la vieille formule qui consiste à montrer une f... (lire la suite)