Chiche, on achète… Tous ensemble, pour que Rosmerta continue !
L’association Rosmerta est un centre social autogéré pour jeunes réfugiés, qui occupe depuis décembre 2018 un bâtiment du diocèse, au centre d’Avignon. Rosmerta lance une SCI (Société Civile Immobilière) citoyenne pour acheter sa propre maison. Rejoignez l’aventure !L’objectif est de recueillir ...
La LDH, attaquée, appelle au combat pour les libertés et la démocratie
Le ministre de l’intérieur menace de lui supprimer ses subventions, la première ministre lui reproche ses « ambiguïtés », d’autres polémistes de droites extrêmes leur faisant écho.Si on peut reprocher quelque chose à la LDH, c’est la constance de ses positions et de ses combats. Créée en 1...
UTOPIA PALMER LANCEMENT D’UN FINANCEMENT PARTICIPATIF
Pour un cinéma alternatif et vivant, sur les hauteurs du parc Palmer à Cenon, petite ville de 30 000 habitants faisant partie de Bordeaux Métropole.À l’heure où les professionnels cherchent désespérément la recette miracle du « retour du public en salles », entre prestations...
Augmentation en vue…
Voilà, c’est maintenant, on ne peut plus reculer. Tout augmente, Utopia doit s’y résoudre aussi. Plus de cinq ans (octobre 2017, la fois d’avant c’était mai 2013) que nos tarifs sont inchangés. Malgré l’inflation, la crise des subprimes, les sécheresses, les inondations, le mildiou, la dispari...
Du 29/06/22 au 26/07/22
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Quand Wong Kar-wai réalise en 1988 As tears go by (« Ainsi vont les larmes »), premier des dix longs métrages qu’il a tournés à ce jour, il est déjà implanté depuis sept ou huit ans dans le monde du cinéma de Hong Kong, assistant de production puis auteur d’une cinquantaine de scénarios – dont il n’a signé qu’une douzaine. La mode est alors aux films de gangsters, après le succès du Syndicat du crime de John Woo. Wong Kar-wai décide alors de s’inspirer de ses aînés américains, et en particulier ... (lire la suite)
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Nous sommes dans les années 60 et Hong Kong semble presque irréel. Il y a si peu de monde dans les rues, pas plus que dans les bars. Cette petite, qui range les bouteilles dans la buvette blafarde et déserte d’un stade d’après match de foot, n’a l’air ni gai ni en forme. Ce jeune garçon qui s’approche a une façon de la regarder et de lui dire « ce soir tu rêveras de moi » qu’on sait, aussi sûrement qu’elle-même, qu’elle ne pourra plus s’en détacher, et qu’avec ces quatre mots d’une banalité conf... (lire la suite)