Chiche, on achète… Tous ensemble, pour que Rosmerta continue !
L’association Rosmerta est un centre social autogéré pour jeunes réfugiés, qui occupe depuis décembre 2018 un bâtiment du diocèse, au centre d’Avignon. Rosmerta lance une SCI (Société Civile Immobilière) citoyenne pour acheter sa propre maison. Rejoignez l’aventure !L’objectif est de recueillir ...
La LDH, attaquée, appelle au combat pour les libertés et la démocratie
Le ministre de l’intérieur menace de lui supprimer ses subventions, la première ministre lui reproche ses « ambiguïtés », d’autres polémistes de droites extrêmes leur faisant écho.Si on peut reprocher quelque chose à la LDH, c’est la constance de ses positions et de ses combats. Créée en 1...
UTOPIA PALMER LANCEMENT D’UN FINANCEMENT PARTICIPATIF
Pour un cinéma alternatif et vivant, sur les hauteurs du parc Palmer à Cenon, petite ville de 30 000 habitants faisant partie de Bordeaux Métropole.À l’heure où les professionnels cherchent désespérément la recette miracle du « retour du public en salles », entre prestations...
Augmentation en vue…
Voilà, c’est maintenant, on ne peut plus reculer. Tout augmente, Utopia doit s’y résoudre aussi. Plus de cinq ans (octobre 2017, la fois d’avant c’était mai 2013) que nos tarifs sont inchangés. Malgré l’inflation, la crise des subprimes, les sécheresses, les inondations, le mildiou, la dispari...
Du 18/07/22 au 06/09/22
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Gus Van Sant a tourné Gerry en 2002, soit un an avant Elephant. Après plusieurs films réalisés à l’intérieur du système hollywoodien (Will Hunting, Psycho, A la recherche de Forrester), Gerry concrétisait pour Van Sant une rupture radicale, une échappée belle vers un cinéma libre de toutes contraintes de production, de narration, de star système, de box office. Et autant dire qu’il n’y est pas allé de main morte dans la liberté et l’expérimentation ! Gerry est encore plus radical qu’Elephant, ca... (lire la suite)
tous les vendredis après-midi jusqu’au 2/9
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Depuis près d’un demi-siècle, La Maman et la putain hante le cinéma, faisant figure de totem pour les cinéphiles et les cinéastes – français mais pas seulement. Le culte qu’il génère auprès de celles et ceux qui font le cinéma aujourd’hui est international, la liste de ses fans, génération après génération, donne le tournis : elle va de Wim Wenders à Michael Haneke, de Jane Campion à Claire Denis, de Jim Jarmusch à Jacques Audiard, de John Waters à Gaspar Noé, à Noah Baumbach, à Cédric Klapisch,... (lire la suite)
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En 1995, Katsuhiro Ôtomo, l’auteur culte d’Akira, lance le chantier de Memories, un triptyque inspiré du manga éponyme. Projet à l’ambition artistique démesurée, Memories abolit les frontières entre dessin animé et cinéma traditionnel, terrasse les derniers préjugés sur l’absence de profondeur de cet art souvent méprisé, réduit à du divertissement jetable pour adolescents. Trois films, trois chefs-d’œuvre adoptant des styles graphiques résolument différents, trois prototypes complémentaires et ... (lire la suite)
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« La caméra est placée dans la conscience même des protagonistes… Rashomon est un véritable “thriller” de la vérité, une vérité toujours fluctuante. » Aldo Tassone, Akira Kurosawa, 1983 Rashômon n’est pas l’œuvre d’un débutant, loin s’en faut. En 1951, Akira Kurosawa a déjà onze réalisations à son actif, dont quelques réussites majeures – on ne citera que L’Ange ivre en 1948 et Chien enragé en 1949. Mais c’est avec ce « Jidai Geki » (film d’époque se déroulant avant l’ère Meiji, autrement dit... (lire la suite)
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C’est un film fou et pourtant incroyablement sensé, de la science fiction extra-lucide. Une parabole jouissive sur l’identité, sur les média, sur l’identité (ré)inventée par les média – en 1998, on ne parlait pas encore de réseaux sociaux –, qui nous façonnent jusque dans nos pensées et nos états d’âme, qui finissent par nous convaincre que les billevesées dont ils nous gavent sont un idéal de bonheur… The Truman show a bientôt 25 ans et il est de ce point de vue d’une modernité sidérante. C’... (lire la suite)
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Lorsque Groundhog Day (littéralement Le Jour de la marmotte) est présenté au public en 1993, Harold Ramis et Bill Murray sont surtout connus pour leurs rôles dans Ghostbusters – SOS Fantômes. Plutôt rigolo mais pas spécialement le specimen du film d’auteur ou de la finesse d’écriture. Il faudra attendre dix ans et Lost in translation pour que le génial Bill devienne pour toujours notre Droopy préféré. Nous sommes donc ici en présence d’une « petite » comédie sortie dans une indifférence à peine ... (lire la suite)