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Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...
Stop Bolloré ! L'appel du collectif
Le collectif Stop Bolloré a vu le jour en décembre 2021 et rassemble des membres et des organisations de la société civile qui s’inquiètent de la concentration des médias et de l’édition en France et des dangers que cela représente pour la démocratie. Le projet du collectif, qui est poli...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°101 au n°117
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°101 au n°117 Samedi 17 avril Hier, fin N° 101. Juliette Binoche, 30 ans plus tard, et magnifique, dans un autre de ses plus beaux rôles. La musique, c’est le célébrissime Canon en ré majeur de Johann Pa...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°51 au n°100
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°51 au N°100 //////////////////////////////////////// Vendredi 26 février Hier, fin N° 51. Saisissante. Tout comme l’est la séquence d’ouverture du film, qui montre la jungle s’enflammer sous les bombes a...
Également au programme - EZZEDINE KALAK - LES CHEBABS DE YARMOUK
Vendredi 27 MARS à 20h30
PROJECTION-DÉBAT avec le réalisateur, Serge Le Péron
Dans le cadre de PALESTINE, JOURNÉE DE LA TERRE.
Tarif unique 4 euros.
Achetez vos places à l'avance, à partir du Mardi 17 Mars.
Groupe Cinéma Vincennes : Ali AKIKA, Guy CHAPOUILLÉ, Danièle DUBROUX, Serge LE PÉRON, Jean NARBONI et Dominique VILLAIN - documentaire France 1974 1h24mn - Tourné en 16 mm, transféré sur copie vidéo.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Tourné entre 1973 et 1975 en France, en Belgique, au Luxembourg, en Hollande, au Liban, en Syrie et en Israël, L’Olivier fut l’un des premiers films à tenter de donner corps à ce qui était encore largement ignoré en Occident : l’existence du peuple palestinien et son combat pour recouvrer ses droits.
C’est donc en premier lieu l’histoire de ce peuple que porte le propos du film, dans une logique de contre-information, dans la mesure où sa voix était inaudible. La destinée tragique d’exilés de l’intérieur et de réfugiés à l’extérieur de leur pays y est recomposée à l’aide d’archives et de témoignages vécus : des plus anciens combattants contre l’occupation anglaise dans les années 30 aux fedayins de l’OLP, qui ont pris le relais de la lutte armée après la défaite des armées arabes en 1967. Dans ce moment clé du milieu des années 70, où l’objectif d’un État commun multiconfessionnel sur la terre de Palestine mobilisait les forces progressistes des deux bords, les voix juives, qui se joignaient aux progressistes du monde entier pour soutenir la lutte palestinienne, sont évidemment présentes dans le film. Elles témoignaient du caractère universel et antiraciste de ce combat ainsi que de l’urgence à résoudre un conflit qui, hélas, est toujours d’actualité.