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Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...
Stop Bolloré ! L'appel du collectif
Le collectif Stop Bolloré a vu le jour en décembre 2021 et rassemble des membres et des organisations de la société civile qui s’inquiètent de la concentration des médias et de l’édition en France et des dangers que cela représente pour la démocratie. Le projet du collectif, qui est poli...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°101 au n°117
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°101 au n°117 Samedi 17 avril Hier, fin N° 101. Juliette Binoche, 30 ans plus tard, et magnifique, dans un autre de ses plus beaux rôles. La musique, c’est le célébrissime Canon en ré majeur de Johann Pa...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°51 au n°100
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°51 au N°100 //////////////////////////////////////// Vendredi 26 février Hier, fin N° 51. Saisissante. Tout comme l’est la séquence d’ouverture du film, qui montre la jungle s’enflammer sous les bombes a...
Également au programme - 4 HISTOIRES FANTASTIQUES
Jeudi 8 MARS 2018 à 21h
PROJECTION suivie d'une rencontre avec la réalisatrice Julie Chaffort et l'équipe du film.
Soirée organisée par l'École supérieure des Beaux-Arts de Bordeaux – EBABX. Entrée libre
Écrit et réalisé par Julie CHAFFORT - France 2016 30 mn - Réalisé dans le cadre du programme « Ecriture de lumière » initié par le FRAC Aquitaine et dans le cadre du Prix du Pavillon / Jeune Création. Production : Pollen, artistes en résidence & Est Ensembe. Sélection officielle FID Marseille – Histoires de portrait.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Dans le film Les Cowboys, Julie Chaffort a défini un rythme, lent, celui du temps qui s’étire dans la torpeur d’un soleil accablant de désert américain, et celui, aussi, de la vie quotidienne des personnes handicapées qu’elle filme.
En créant un cadre très ouvert, où chacun joue son propre personnage, seul ou à plusieurs, la réalisatrice permet à la vraie vie de ses acteurs de rentrer dans le film. Ses personnages sont eux-mêmes et en même temps autres. Ils se prêtent, avec bonheur, au travestissement, incarnant ces cowboys et cowgirls qu’ils ont peut-être rêvé d’être.
Et ce qu’ils insufflent de leur vie propre à leur personnage, si décalé de ce que l’on pourrait attendre de « véritables » faux cowboys (puisqu’on ne les connaît, souvent, que par le cinéma), paraît soudain si juste.
La vie est là, dans son humanité la plus évidente. La cohabitation pacifique avec les chevaux, que l’on voit se frotter, se humer, galoper à côté, renforce le sentiment que l’on assiste, dans Les Cowboys, à une vision de l’essence de l’être animal, futur de l’homme. (Camille De Singly)