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Stop Bolloré ! L'appel du collectif
Le collectif Stop Bolloré a vu le jour en décembre 2021 et rassemble des membres et des organisations de la société civile qui s’inquiètent de la concentration des médias et de l’édition en France et des dangers que cela représente pour la démocratie. Le projet du collectif, qui est poli...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°101 au n°117
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Quiz des "trente dernières secondes" du n°51 au n°100
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Mercredi 12 FÉVRIER 2020 à 20h30
PROJECTION en présence du réalisateur Diako YAZDANI
Organisée par ALCA Nouvelle-Aquitaine et l’association Le Refuge.
Projection suivie d’une rencontre avec Diako Yazdani, Raphaël Pillosio, producteur (L’Atelier documentaire) et Dominique Gozillon, déléguée régionale de l’association Le Refuge.
Achetez vos places à l'avance au cinéma, à partir du Dimanche 2 Février.
Film de Diako YAZDANI - documentaire France 2019 1h27mn VOSTF - Produit par L’Atelier documentaire.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Diako Yazdani est un réalisateur kurde, qui a étudié à Téhéran et réalisé des courts-métrages sous la direction du grand Abbas Kiarostami. En 2011, contraint de quitter l’Iran, Diako s’installe à Paris où il obtient le statut de réfugié politique.
Quelques années plus tard, il décide de réaliser un documentaire à la première personne, et retourne voir sa famille, issue de la classe moyenne et très pieuse, au Kurdistan irakien. Là-bas, il leur présente Kojin, un jeune homosexuel de 23 ans qui cherche à exister au sein d’une société où il semble ne pas pouvoir trouver sa place. C'est l’occasion de confronter les points de vue et de dresser le portrait de cette société où il semble que l’homosexualité n’existe pas. Avec humour et poésie, le réalisateur livre un portrait émouvant où les rencontres des uns et des autres invitent à une réflexion universelle sur la différence.
Diako raconte : « Jusqu’à l’âge de 18 ans, j’étais homophobe. Puis j’ai commencé à m’ouvrir à la question des sexualités. En 2014, j’ai retrouvé un ami kurde iranien réfugié en Irak à cause de ses activités politiques. Il subissait une double violence, car il était également homosexuel et rejeté par sa famille. Très touché par son histoire, j’étais aussi en colère contre la société kurde et contre moi-même parce qu’on ne faisait rien pour cette communauté. J’ai décidé de parler des contradictions d’une société qui revendique la liberté politique des individus mais leur refuse les libertés sexuelles. Toute ma vie, j’ai entendu “Nous les Kurdes on souffre, on est opprimés, dominés, marginaux, etc.” Or, il ne peut pas y avoir de solidarité entre Kurdes si nous sommes otages de l’homophobie. »