SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...
Également au programme - ONE MORE JUMP - UNE ASSEMBLÉE DE FEMMES PALESTINIENNE - YALLAH GAZA !
Séance unique le dimanche 21 avril à 11h,
dans le cadre de la Journée Internationale de la Solidarité avec les Prisonniers Politiques. La séance sera présentée par Christine Post, coordinatrice du groupe de travail AFPS sur les prisonniers palestiniens et suivie d’une discussion ainsi que d’un brunch participatif.
Écrit et réalisé par Mai MASRI - Palestine 2016 1h43mn VOSTF - avec Maisa Abd Elhadi, Raida Adon, Karim Saleh, Nadira Omran...
Du 21/04/24 au 21/04/24
Il est des films dont on ressort ému aux larmes, dont on ne se remet jamais complètement et dont on a envie de dire au monde entier « si j’étais toi, j’irais de ce pas le voir au cinéma ». 3000 nuits, de la réalisatrice palestinienne Maï Masri, fait partie de ces films-là.
L’histoire se passe dans une prison israélienne dans les années 80, Layal y enfermée pour 8 années, condamnée pour un attentat dans lequel elle n’est pas impliquée. Elle partage la cellule d’Israéliennes condamnées de droit commun et s’habitue progressivement à l’univers carcéral. Mais elle découvre qu’elle est enceinte et envers et contre tous, elle décide de garder l’enfant.
Elle accouche donc seule, les mains menottées au lit de l’infirmerie de la prison. Nour, son nouveau-né, son espoir, est accueilli en fête par les autres prisonnières palestiniennes. Les murs sont gris, les uniformes informes et pourtant la joie règne et les youyous célèbrent la vie.
Le film accroche le spectateur en focalisant sur la lutte de cette jeune mère pour sa survie et celle de son nouveau-né à l’intérieur d’une prison de l’occupant israélien. La réalisatrice, affirme que le cinéma est une arme. Une arme qui doit être utilisée par les Palestiniens eux-même. « C'est à nous de raconter notre histoire ; notre histoire telle qu'elle est. Cette mission n'incombe à personne, Hollywood ou autre. C'est la propre responsabilité des Palestiniens ».
Depuis 1948, 700 000 Palestiniens sont passés par les prisons israéliennes. Aujourd’hui ils sont 6000 à y être enfermés. Les chiffres font froid dans le dos. « Presque chaque Palestinien a une expérience avec les prisons de l’occupation : soit il y a été, soit un de ses proches y a été enfermé. » confie la réalisatrice.
(d'après onorient.com)