SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...
Également au programme - BLEU PÂLEBOURG - LES TUEURS D’ORDINAIRE - SACRES ET MASSACRES
Du 27 au 29 mars, chaque séance du cycle sera présentée par le cinéaste et suivie d’une rencontre
S’il nous est impossible de vous faire connaître l’œuvre dans son ensemble, l’association l’Écran et son double, le Centre Culturel Universitaire de l’université Paul Valéry de Montpellier, l’association Oblik et le cinéma Utopia s’associent pour vous faire découvrir 4 longs-métrages et 3 courts-métrages emblématiques du cinéma de Jean-Denis Bonan.
Vendredi 29 mars à 20h,
dans le cadre des séances OBLIK, en présence de l’acteur Claude Merlin.
La séance sera précédée du court-métrage Mathieu fou (1967 30mn), et
suivie d’un apéro au Tar Brew !
Jean-Denis BONAN - France 1968 1h10mn - Avec Claude Merlin, Solange Pradel, Myriam Mézières...
Du 29/03/24 au 29/03/24
Après l’exécution d’une tueuse en série de prostituées, des meurtres similaires se produisent à nouveau. La police traque une mystérieuse jeune femme que la presse a nommée « la Sadique de Pigalle ». Une longue course-poursuite s’engage dans une capitale noirâtre où semble encore planer l’ombre de Fantômas. Tourné à Paris pendant les événements de mai 68, ce film féroce est l’OVNI cinématographique qui a permis de redécouvrir l’œuvre de Bonan. L’esprit de révolte de son époque est profondément ancré dans cette intrigue qui refuse d’obéir aux normes du genre dans lequel elle s’inscrit. Difficile en effet de trouver ses repères dans un film qui mélange le cinéma populaire et la poésie libertaire, qui virevolte le temps d’une chanson pour proposer une scène presque comique avant de revenir à un registre plus grave. Un refus des conventions qui caractérise l’ensemble de l’œuvre de Jean-Denis Bonan, naturellement présent dans ce premier film.