UTOPIA SAINTE BERNADETTE
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Le blog des profondeurs...
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SÉANCES BÉBÉS
  Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...

30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...

À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...

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MAINS CRIMINELLES

(En la palma de tu mano) Roberto Gavaldón - Mexique 1950 1h53mn VOSTF - avec Arturo de Cordova, Leticia Palma, Ramon Gay, Consuelo Guerrero de Luna... Scénario de José Revueltas et Roberto Gavaldón, d’après le récit de Luis Spota.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

MAINS CRIMINELLESUn charlatan se fait passer pour un voyant afin d’escroquer les clientes de l’institut de beauté où travaille sa femme. Il tente de faire chanter l’une d’elles qu’il soupçonne d’avoir tué son mari…

À l’écriture de Mains criminelles participe Luis Spota, un chroniqueur urbain remarquable qui révèle les vices de la bourgeoisie mexicaine des années quarante. Mains criminelles est un très bon exemple de la maîtrise narrative du cinéaste. Remplaçant la vieille formule qui consiste à montrer une femme fatale écrasant moralement un homme harcelé et vulnérable, on voit ici à l’œuvre deux mentalités aussi perverses l’une que l’autre, qui font semblant de partager le même désir charnel dans le seul but de réaliser, en toute impunité, le crime parfait. (Carlos Bonfil)