SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...
Séance unique le vendredi 16 décembre à 19h, présentée par l'association Montpel'libre et suivie d'une discussion en présence de François Pellegrini, informaticien, professeur-chercheur au Laboratoire bordelais de recherche en informatique (LaBRI) et à Inria, Vice-président de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) et co-président du cluster NAOS ("Nouvelle-Aquitaine open source"), Myriam Criquet, juriste en Droit des créations immatérielles, Libriste, et Pascal Arnoux, librosophe, Président de l'association Montpel'libre
Écrit par Léa Deneuville et Thierry Bayoud, et réalisé par François Zaïdi - documentaire France 2019 57mn - avec Richard Stallman, Jean-Baptiste Kempf, François Pellegrini, Frédéric Couchet...
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Mais pourquoi LOL ? Pour François Zaïdi, LOL représente l’usage majoritaire que l’on fait aujourd’hui du numérique, un usage souvent léger, un peu insouciant. Et puis LOL, c’est l’acronyme (ou presque) de LOgiciel Libre. Pourtant, l’informatique, les logiciels sont partout et leurs impacts sont très importants sur nos vies et dans notre société en général. C’est donc bien au final une affaire sérieuse.
Le film a un objectif affirmé de pédagogie, cela d’autant que Thierry Bayoud, qui n’est pas informaticien, explique avoir mis deux ans avant de comprendre le concept de logiciel libre, et que le film ambitionne en conséquence de débroussailler la question pour ceux, et ils sont légion, qui utilisent couramment un ordinateur mais n’ont pas ou peu de notion du libre.
Il y a dans ce documentaire un beau concentré d’explications sur les logiciels libres (code source, ordinateur, logiciel privateur, droit à l’interopérabilité...). Il y est aussi question de l’Education nationale - « la première dose est toujours gratuite », rappelle Laurent Séguin (Aful) – et des relations avec les Gafam – des gouvernements préfèrent avoir un seul interlocuteur que plusieurs, note Magali Garnero, libraire militante à l’April et Framasoft. Ou encore de l’impossibilité de leur échapper complètement – Facebook vous connaît même si vous n’y êtes pas, via vos amis qui en font partie, relève Laurent Séguin. Liens avec les services d’État (Snowden est cité à plusieurs reprises), Kindle d’Amazon qui efface judicieusement «1984», rappel de Cambridge Analytica… il y a beaucoup de choses en moins d’une heure, et pourtant assez de film tourné pour faire une suite si besoin, indiquent ses auteurs.