SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...
Ciné-club Nevers
Séance unique le vendredi 20 janvier à 20h, présentée par les élèves et les enseignants de la spécialité cinéma du lycée Nevers.
L’objectif est simple : permettre de partager en salle le plaisir de voir ou revoir des classiques de l’histoire du cinéma et d’échanger ensemble de manière conviviale à la fin du film.
A noter, pour les cinéastes en herbes, la spécialité Cinéma sera présentée au cours de la Journée Portes Ouvertes du Lycée Nevers, le samedi 21 janvier de 8h30 à 12h.
(Jaws) Steven Spielberg - USA 1975 2h04mn VOSTF - avec Roy Scheider, Robert Shaw, Richard Dreyfuss, Lorraine Gary, Carl Gottlieb...
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Amity Island, destination touristique par excellence, est la proie d'un requin mangeur d'hommes. Martin Brody, chef de la police locale, tente de convaincre les autorités de fermer les plages, mais il se heurte à un refus : on ne ferme pas la porte aux profits. Il devient alors urgent de partir à la pêche au gros.
On l'a répété un nombre incalculable de fois, la grande habileté de Spielberg dans ce film consiste à miser sur le suspense plus que sur l'horreur : les massacres commis par le requin sont presque tous suggérés, le plus connu étant le premier. Le requin ne commence à apparaître qu'à la moitié du film, et ne se montre en gros plan que dans la dernière demi-heure. La raison n'est pas seulement le talent de Spielberg, mais surtout l'avalanche de problèmes techniques affectant la marionnette du requin. Affectueusement surnommée Bruce par l'équipe, la bestiole animée n'avait été testée qu'à l'air libre, et passait son temps à se détraquer sous l'eau. Au bout du compte, Spielberg utilisa un simple mannequin dans plusieurs plans. Heureusement, on retient surtout les séquences marines exaltantes, la musique de John Williams, le travelling compensé sur Roy Scheider lorsqu'il est témoin de sa première attaque de requin… Spielberg a déjà le sens du spectacle et du suspense, et, bien que joliment daté, Les dents de la mer se regarde toujours avec plaisir.
(cinema.krinein.com)