UTOPIA SAINTE BERNADETTE
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Coopérative QUI VIVRA BÉRAT habitat partagé en évolution la Ménardière
Une autre façon de vivre ? Une autre façon de vieillir ? Voilà 4 ans, qu’un groupe de retraités a investi le Domaine de la Ménardière en créant une coopérative. Objectif : Vivre et vieillir ensemble solidaires et actifs jusqu’au bout du chemin. Chambres d’hôtes, Conc...

SÉANCES BÉBÉS
  Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...

30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...

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Séance unique le jeudi 16 mars à 19h, en présence de la réalisatrice Marusya Syroechkovskaya. En partenariat avec DOC-Cévennes et La Cinémathèque du documentaire.

HOW TO SAVE A DEAD FRIEND

Marusya SYROECHKOVSKAYA - Suède/Norvège/France/Allemagne 2022 1h43 VOSTF -

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

HOW TO SAVE A DEAD FRIENDAlors que Marusya n’a que 16 ans, elle prend la décision d’en finir avec sa vie, un sort malheureusement courant chez les jeunes Russes. Cependant, elle fera très rapidement la rencontre de Kimi, un autre jeune de son âge avec qui elle entame une relation longue de plusieurs années, faite de musique, drogues, précarité, mais surtout d’un amour mutuel, profond et intense. How to Save a Dead Friend n’est pas qu’un hommage à Kimi, dont la santé mentale se détériore tout au long du film, mais avant tout un regard sur une jeune génération russe marginalisée, au bord du gouffre. À travers une utilisation d’archives très radicale, ce documentaire nous adresse un appel à l’aide à la manière d’un Tarnation de Jonathan Caouette, autre grand film d’archives personnelles. Plus que les musiques y étant utilisées, c’est le film entier qui se retrouve être empli d’une identité punk, voire parfois grunge. Il s’agit de montrer la précarité de cette génération, son désespoir, et surtout ses velléités de révolte. Tout le montage du film alterne alors entre la volonté de retrouver la rage avec laquelle les vidéos furent prises à l’époque, puis la douceur apportée par le recul d’aujourd’hui. How to Save a Dead Friend est ainsi un film pouvant paraître hostile, mais est en fait une bête blessée au regard hargneux, mais jamais dangereux. Il suffit d’entendre ce SOS qui nous est adressé, et pour ça il faut s’approcher, et ne pas en avoir peur.