Coopérative QUI VIVRA BÉRAT habitat partagé en évolution la Ménardière
Une autre façon de vivre ? Une autre façon de vieillir ? Voilà 4 ans, qu’un groupe de retraités a investi le Domaine de la Ménardière en créant une coopérative. Objectif : Vivre et vieillir ensemble solidaires et actifs jusqu’au bout du chemin. Chambres d’hôtes, Conc...
SÉANCES BÉBÉS
Les séances "bébé" sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu'ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu'il peut arriver qu'un bébé fasse du bruit en suçant son pou...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
Également au programme - LE GUÉPARD - LUDWIG, LE CRÉPUSCULE DES DIEUX - SENSO
Luchino VISCONTI - Italie 1976 2h09mn VOSTF - avec Giancarlo Giannini, Laura Antonelli, Jennifer O’’Neill, Marie Dubois... Scénario de Visconti, Enrido Medioli et Suso Cecchi d’Amico, d’après le roman de Gabriele d’Annunzio.
Du 28/08/24 au 24/09/24
L’Innocent est l’ultime chef-d’œuvre de Luchino Visconti, qu’il dirigea de son fauteuil roulant, paralysé par une attaque, peu de temps avant sa mort. Ce drame mondain adapté de D’Annunzio, d’une cruauté exceptionnelle, est un adieu glacial au monde et au cinéma qui stigmatise une société aristocratique décadente. Un testament moral et esthétique…
L’innocent du titre, c’est un nouveau né qui sera tué au nom de l’honneur et de l’orgueil… Difficile d’imaginer un regard plus pessimiste et sans aucune indulgence sur la laideur d’un monde sans morale où triomphent le droit du plus fort, la violence de classe…
Longtemps L’Innocent fut considéré comme un épilogue mineur et fatigué, indigne des chefs-d’œuvre de Visconti. Il n’en est rien. Comme d’autres immenses réalisateurs au crépuscule de leur vie (Dreyer, Lang) Visconti tend ici à une épure de son art, un art qui célébra avec génie les noces du cinéma et de l’opéra, de la littérature et du théâtre. Avec L’Innocent, Visconti signe un mélodrame sec, implacable, froid comme la mort, aux allures de requiem. (O. Père, arte.tv)