SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...
Du 06/07/22 au 26/07/22
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Malgré sa Palme d’Or au Festival de Cannes 1952 (ex-æquo avec Othello d’Orson Welles), ce merveilleux film est tombé, en même temps que son réalisateur, dans un injuste oubli des limbes duquel il est urgent de le sortir ! Deux sous d’espoir dépeint l’Italie du Sud, ses habitants et le chômage omniprésent. Si ce dernier, plus qu’un simple contexte, est un personnage à part entière de la narration, il laisse pour autant place à l’optimisme et à la fantaisie, dans un récit truffé de rebondissement... (lire la suite)
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Dans la lignée des Vittelloni de Fellini, Les Femmes des autres de Damiano Damiani est une étonnante surprise, une œuvre complexe, personnelle. Ces déambulations nocturnes de plusieurs maris en goguette à la recherche de conquêtes féminines sont filmées sans complaisance. On assiste à un festival de mensonges, de faux-semblants, de forfanteries, voire de goujateries traitées sans condescendance ni apitoiement où tout à coup surgissent à l’improviste des moments touchants, tendres. Nulle exaltat... (lire la suite)
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Injustement méconnu en France, ce splendide Un vrai crime d’amour invite à (re)découvrir la part dramatique du cinéma de Luigi Comencini, trop rapidement associé à l’âge d’or de la comédie à l’italienne. Après son tout aussi magnifique L’Argent de la vieille (1972), Comencini trouve dans le genre du mélodrame l’occasion de déployer sa veine sociale sur le terrain plus sensible de l’exploration du sentiment amoureux. L’histoire d’amour de Nullo (Giuliano Gemma) et Carmela (Stefania Sandrelli) se... (lire la suite)