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LA GAZETTE UTOPIA 325 du 28 FÉVRIER AU 9 AVRIL 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 324 du 24 JANVIER AU 27 FÉVRIER 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 323 DU 13 DÉCEMBRE 2023 AU 23 JANVIER 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 322 DU 1ER NOVEMBRE AU 12 DÉCEMBRE 2023
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Réalisé par Alfred Hitchcock - USA 1960 1h49mn VOSTF - avec Anthony Perkins, John Gavin, Vera Miles... Scénario de Joseph Stefano, adapté d’un roman de Robert Bloch, inspiré de faits réels (le tueur en série Ed Gein).
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
« Je veux jouer avec le spectateur comme le chat avec la souris. » (Alfred Hitchcock)
Le propre de tout chef-d’œuvre artistique est, dit-on, de proposer de multiples significations et d’influencer les créateurs à venir par son aspect novateur. Pour ce qui est du cinéma moderne, on pourrait dire, paraphrasant une phrase célèbre, qu’au début il y eut Citizen Kane (1941) d’Orson Welles ; puis vint Psycho (1960) de Hitchcock, l’un des films fondateurs du cinéma moderne qui marque encore les mémoires des cinéphiles et inspire toujours les réalisateurs et les critiques plus de quarante années après sa sortie sur les écrans. Qu’il s’agisse des thèmes, de l’atmosphère, du décor ou de la réalisation, citons, entre autres auteurs influencés, Claude Chabrol (La Femme infidèle et Le Boucher), Dario Argento (L’oiseau au plumage de cristal), Brian de palma (Pulsions), David Lynch (Blue velvet)...
Pour les petits chanceux qui n’auraient jamais entendu parler du film (on les envie de le découvrir !), en voici les grandes lignes : Marion Crane en a assez de ne pouvoir mener sa vie comme elle l’entend. Son travail ne la passionne plus, son amant ne peut l’épouser car il doit verser une énorme pension alimentaire le laissant sans le sou... Mais un beau jour, son patron lui demande de déposer 40 000 dollars à la banque. La tentation est trop grande, et Marion s’enfuit avec l’argent. Très vite la panique commence à se faire sentir. Partagée entre l’angoisse de se faire prendre et l’excitation de mener une nouvelle vie, Marion roule vers une destination qu’elle n’atteindra jamais. La pluie est battante, la jeune femme s’arrête près d’un motel, tenu par un sympathique gérant nommé Norman Bates, mais qui doit supporter le caractère possessif de sa mère. Après un copieux repas avec Norman, Marion prend toutes ses précautions afin de dissimuler l’argent. Pour se délasser de cette journée, elle prend une douche...
Stop ! En dire un mot de plus serait trahir la règle du jeu voulu par le grand Alfred, et on s’en voudrait de le décevoir ; êtes-vous prêt à jouer entre les griffes du chat ?