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DANS LA GAZETTE !
LA GAZETTE UTOPIA 326 DU 10 AVRIL AU 14 MAI 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 325 du 28 FÉVRIER AU 9 AVRIL 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 324 du 24 JANVIER AU 27 FÉVRIER 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 323 DU 13 DÉCEMBRE 2023 AU 23 JANVIER 2024
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Séance unique Mardi 18 juin à 20h30 à Utopia Saint-Ouen l'Aumône, en partenariat avec le C.A.U.E ( Conseil d'Architecture d'Urbanisme et de l'Environnement du Val d'Oise) suivie d'une rencontre avec Sylvie Cachin, paysagiste du C.A.U.E
Paysagiste, naturaliste, écrivain… Gilles Clément a remis en question l’art des jardins à la fin du XXe siècle. Avec le « jardin en mouvement » il redéfinit le rôle du jardinier et sa relation à la nature.
Le débat portera sur cette nouvelle manière de concevoir le jardin, son intérêt, ses difficultés et sa mise en œuvre technique.
Olivier COMTE - documentaire France 2016 52mn -
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Ce film retrace le parcours atypique de Gilles Clément, jardinier et architecte paysagiste, mais aussi écrivain. Marqué par l’écologie, il a remis en question l’art des jardins à la fin du XXe siècle, avec le jardin en mouvement, le jardin planétaire ou le tiers paysage. Depuis son jardin secret, la « Vallée », perdue au milieu des bois, dans la Creuse, nous découvrons les principales réalisations qui ont jalonné sa création, comme le Domaine du Rayol dans le Var, le parc Henri Matisse à Lille ou le jardin tiers paysage sur l’Ancienne base militaire de Saint-Nazaire. Le jardin ne se résume pas à un carré de pommes de terre, il est un lieu où s’exercent les utopies politiques, où se pratique la pensée scientifique et où les rêves nous portent vers d’autres mondes.
Selon Gilles Clément, le jardin en mouvement est un « état d’esprit » qui « conduit le jardinier à observer plus et jardiner moins. À mieux connaître les espèces et leurs comportements pour mieux exploiter leurs capacités naturelles ». Son objectif est de maintenir et accroître la diversité biologique, source d’étonnement, garantie du futur ». Il doit pour cela : « maintenir et accroître la qualité biologique des substrats : eau, terre, air », « intervenir avec la plus grande économie de moyens, limitant les intrants, les dépenses d’eau, le passage des machines ».