Les vidéos du Toulouse Hacker Space Factory (THSF) à revoir sur TV Bruits
Le Toulouse Hacker Space Factory (THSF) explore depuis 2010 les espaces de dérivation de l’emprise des technologies sur nos vies, en particulier celles en mutation du monde numériques et cybernétique. Les vidéos des interventions sont disponibles sur le site de TV Bruits https://tvbruits.org/spi...
FMR a fêté ses 40 ans à Borderouge
Le temps passe et FMR a 40 ans déjà. La radio toulousaine avait fêté cela au Bikini le 27 novembre 2021 avec une grande soirée de concerts. Le Bikini et FMR s’est aussi une belle et tumultueuse histoire que nous racontent Hervé Sansonetto et Pierre Rogalle dans un documentaire réalisé par TV Bru...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...
Install-party samedi 18 juin à Tournefeuille
Vous voulez déconfiner durablement vos ordinateurs ? Envie de découvrir une informatique libre, éthique et accessible ? Vous vous sentez une affection naissante pour les gnous et les pinguins ? L’association Toulibre vous propose de venir découvrir les Logiciels Libres, et comme le premier pas v...
John CARPENTER - USA 1982 1h45mn VOSTF - avec Kurt Russel, Wilford Brimley, Keith David, Donald Moffat... Scénario de Bill Lancaster. Musique d'Ennio Morricone.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Une base de recherche dans l'Antarctique. Douze hommes travaillent dans des conditions très dures, isolés par une tempête de neige. Ils recueillent un chien de traîneau qui sème la panique dans le chenil. Bientôt, une « chose » monstrueuse naît de son corps et phagocyte les êtres vivants en prenant leur apparence. En enquêtant dans le camp norvégien d'où venait le chien et où il ne reste aucun survivant, l'équipe américaine comprend que le « mal » viendrait de l'occupant d'un vaisseau spatial, conservé dans le froid. La « chose » étant susceptible de « devenir » n'importe quel des membres du groupe, un climat de suspicion permanente s'installe rapidement, et la tension monte, monte, monte…
« Quand il entreprend la réalisation de The Thing, John Carpenter est au sommet de sa carrière. Il sort du succès critique et public de New-York 1997 (1981) et il est reconnu comme le maître du cinéma d’horreur… C’est donc fort d’une liberté de mouvement plutôt large et de moyens relativement considérables qu’il s’attelle au remake de The Thing from another world, réalisé par Christian Nyby et produit par Howard Hawks (qui aurait mis la main à la pâte) en 1951. Confiant et peu soucieux des attentes du public, il réalise un film crépusculaire, d’une profonde noirceur. Au moment de sa sortie en 1982, devant l’engouement que suscite E.T. (Steven Spielberg) sur les écrans au même moment, il comprend que The Thing sera un échec et un film incompris. L’Amérique reaganienne a besoin d’optimisme et de figures mythologiques saines pour renforcer son empire. Le pessimisme de Carpenter n’est pas à l’ordre du jour. Le film est donc un flop et fait ricaner l’incompétente critique américaine. Fort heureusement… The Thing sera réévalué et, dans l’imaginaire cinéphilique, bientôt soupçonné d’être l’un des meilleurs films de Carpenter, voire son chef d’œuvre… La qualité et l’audace des effets spéciaux (dus à l’ingénieux, et à l’époque débutant, Rob Bottin) achevèrent de lui ériger une réputation de film culte. » (M. Santelli, critikat.com)