Install-party samedi 18 juin à Tournefeuille
Vous voulez déconfiner durablement vos ordinateurs ? Envie de découvrir une informatique libre, éthique et accessible ? Vous vous sentez une affection naissante pour les gnous et les pinguins ? L’association Toulibre vous propose de venir découvrir les Logiciels Libres, et comme le premier pas v...
Sous l'aile des Anges, et le regard de Terrence Malick
Chers spectateurs, parfois je viens vous voir dans les salles afin de vous rencontrer en direct, d’échanger avec vous, de vous raconter les croustillantes anecdotes de l’exploitante du cinéma aguerrie et acharnée que je suis. C’est tellement profitable les séances collectives, c’est du cinéma. Telle...
L'œil et la Plume : retour critique de LITTLE PALESTINE / D.E.F.I. prod
Basée au Mirail, l’équipe de D.E.F.I PRODUCTION s’est donner pour nouvelle mission d’accompagner des groupes de jeunes à la découverte d’autres cinémas, d’autres films, dans d’autres salles… Plus ou moins régulièrement nous aurons des retours, écrits, filmés, radios, de ces découvertes.... Lire ...
LE DOMOVOÏ - bistrot d'Utopia Borderouge - est (enfin !) ouvert !
« Génie familier de la maison, Domovoï est originellement celui du feu du foyer. Il se fonde sur l’usage de déposer dans la nouvelle maison un feu pris dans la précédente et sur celui d’offrir au domovój, chaque 28 janvier, un pot de gruau recouvert de braises. » Merci Wikipédia, on en sait à pr...
Du 30/06/22 au 02/07/22
Le Marathon des Mots est à Utopia Tournefeuille, en collaboration avec La Médiathèque. Lecture gratuite, films aux tarifs habituels du cinéma, sans réservation.
Jeudi 30 juin à 20h : Danièle Lebrun de la Comédie-Française lit John Wayne : une chanson d’amour de Joan Didion traduit de l’anglais par Pierre Demart (L’Amérique, Grasset). Figure adulée de la scène littéraire et journalistique américaine, Joan Didion a toujours été fascinée par le cinéma et les grands mythes américains qu’elle n’a cessés d’interroger à travers ses articles et essais. Elle fut aussi scénariste, basant son travail sur une solide construction d’enquêtes et de recherches comme en témoigne Panique à Needle Park. Lecture à 20h dans le jardin de la Médiathèque (sauf en cas de pluie, repli dans la salle du cinéma), suivie de la projection du film dans la salle de cinéma.
Et samedi 2 juillet à 21h15 : séance unique du grand classique de John Ford, L’homme tranquille
Du 02/07/22 au 02/07/22 à Tournefeuille
Célèbre titre de la veine irlandaise de son auteur, L’Homme tranquille est le film du retour au pays natal, et peint un tableau idyllique de l’Irlande. Le Technicolor rutilant magnifie les paysages campagnards, les vertes prairies, tandis que Ford ne lésine pas sur le folklore, avec la description attendrie d’une petite communauté villageoise, de personnages pittoresques, et se laisse aller à son goût légendaire pour les scènes homériques de beuveries et de bagarres. L’Homme tranquille ne se ... (lire la suite)
Le Marathon des Mots est à Utopia Tournefeuille, en collaboration avec La Médiathèque. Lecture gratuite, films aux tarifs habituels du cinéma, sans réservation.
Jeudi 30 juin à 20h : Danièle Lebrun de la Comédie-Française lit John Wayne : une chanson d’amour de Joan Didion traduit de l’anglais par Pierre Demart (L’Amérique, Grasset). Figure adulée de la scène littéraire et journalistique américaine, Joan Didion a toujours été fascinée par le cinéma et les grands mythes américains qu’elle n’a cessés d’interroger à travers ses articles et essais. Elle fut aussi scénariste, basant son travail sur une solide construction d’enquêtes et de recherches comme en témoigne Panique à Needle Park. Lecture à 20h dans le jardin de la Médiathèque (sauf en cas de pluie, repli dans la salle du cinéma), suivie de la projection du film dans la salle de cinéma.
Et samedi 2 juillet à 21h15 : séance unique du grand classique de John Ford, L’homme tranquille
Du 30/06/22 au 30/06/22 à Tournefeuille
Panique à Needle Park a 50 ans et c’est un des films les plus forts, les plus marquants jamais réalisés sur la drogue, son engrenage et ses ravages. On n’a guère fait mieux depuis, on n’a pas fait plus dissuasif. Mais sans discours, sans morale assénée, sans recours à l’explication psycho-sociologique plombante. Des femmes, des hommes, jeunes, des comportements, des faits, tous saisis au vol, à l’arraché, par une caméra attentive, à l’affût, qui ne juge pas mais qui ne fait pas de cadeau. C’est ... (lire la suite)