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Le blog des profondeurs...
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La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

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LE DÉMON S’ÉVEILLE LA NUIT

(Clash by night) Fritz Lang - USA 1952 1h45 VOSTF - avec Barbara Stanwick, Paul Douglas, Robert Ryan, Marylin Monroe... Scénario d’Alfred Hayes, d’après une pièce de Clifford Odets.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

LE DÉMON S’ÉVEILLE LA NUITAprès dix ans d’absence, Mae Doyle revient au pays. Un passé trouble et un amour malheureux l’ont transformée. Elle est accueillie par son jeune frère, Joe, qui habite un petit port de pêche. Jerry D’Amato, le patron de son frère, s’éprend aussitôt d’elle et lui propose de l’épouser. Mae, qui connaît bien sa propre inconstance, hésite mais finit par accepter.
À peine mariée, comme prévu, elle s’éprend du meilleur ami de Jerry, Earl Pfeiffer, un projectionniste cynique et violent. Elle entame une liaison dangereuse avec lui…
Un film à part dans la filmographie américaine de Lang, une sorte de drame social et sexuel beaucoup plus naturaliste qu’à son habitude. Au début, une extraordinaire séquence dépeint le travail quotidien des pêcheurs et des travailleurs des conserveries. Cette scène, tournée dans un style documentaire, ancre le film dans une réalité lourde de chaînes qui explique l’aliénation petite-bourgeoise des personnages.