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La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

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BEYROUT À BOUT DE SOUFFLE. Un regard sur le cinéma contemporain libanais

Du 07/03/22 au 08/03/22

Le cinéma libanais est profondément marqué par les guerres et conflits. De par le contexte politique, économique et social, les réalisateurs ont souvent recours au réalisme dans leurs films. Ce réalisme est celui d’un pays à bout de souffle dont on dit que son peuple est résilient. Mais qu’est-ce au juste cette résilience si ce n’est l’impossible renoncement à vivre dans un État de droit ? Les films présentés dépeignent la complexité d’un pays où l’intime et le politique sont intimement liés et où la vie finit toujours par prévaloir.

Ces séances sont organisées en collaboration avec l’École d’Art d’Avignon (ESAA) dans le cadre de la programmation Quartet en mars. Elles seront accompagnées par Sirine Fattouh, instigatrice du projet, artiste, vidéaste, enseignante à l’ESAA en art vidéo.

Vente des places à partir du 24 février. Le lundi 7 mars sera également présent Michel Tabet, réalisateur de Habiter Beyrouth : anthropologie d’un désastre.


  • Du lundi 7 au mardi 8 mars
    Le cinéma libanais est profondément marqué par les guerres et conflits. De par le contexte politique, économique et social, les réalisateurs ont souvent recours au réalisme dans leurs films. Ce réalisme est celui d’un pays à bout de souffle dont on dit que son peuple est résilient. Mais qu’est-ce au juste cette résilience si ce n’est l’impossible renoncement à vivre dans un État de droit ? Les films présentés dépeignent la complexité d’un pays où l’intime et le politique sont intimement liés et où la vie finit toujours par prévaloir.

    Ces séances sont organisées en collaboration avec l’École d’Art d’Avignon (ESAA) dans le cadre de la programmation Quartet en mars. Elles seront accompagnées par Sirine Fattouh, instigatrice du projet, artiste, vidéaste, enseignante à l’ESAA en art vidéo.

    Vente des places à partir du 24 février. Le lundi 7 mars sera également présent Michel Tabet, réalisateur de Habiter Beyrouth : anthropologie d’un désastre.

    BEYROUT À BOUT DE SOUFFLE. Un regard sur le cinéma contemporain libanais

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Lundi 7 mars à 18h En présence du cinéaste Michel Tabet et de Sirine Fattouh. BRISÉS : BEYROUTH 6.07 Carol MANSOUR Liban 2021 16mn « Après l’explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020, je ne voulais pas parler de moi à la première personne, mais du moi collectif. Le film est un cri de douleur qui fait place aux témoignages des blessés et de ceux qui ont survécu. Ce sont leurs voix que je transmets. » THOSE STILL STANDING (Ceux qui sont encore debout) Carol MANSOUR Liban 20... (lire la suite)