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30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...

Stop Bolloré ! L'appel du collectif
Le collectif Stop Bolloré a vu le jour en décembre 2021 et rassemble des membres et des organisations de la société civile qui s’inquiètent de la concentration des médias et de l’édition en France et des dangers que cela représente pour la démocratie. Le projet du collectif, qui est poli...

Quiz des "trente dernières secondes" du n°101 au n°117
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°101 au n°117   Samedi 17 avril Hier, fin N° 101. Juliette Binoche, 30 ans plus tard, et magnifique, dans un autre de ses plus beaux rôles. La musique, c’est le célébrissime Canon en ré majeur de Johann Pa...

Quiz des "trente dernières secondes" du n°51 au n°100
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°51 au N°100 //////////////////////////////////////// Vendredi 26 février  Hier, fin N° 51. Saisissante. Tout comme l’est la séquence d’ouverture du film, qui montre la jungle s’enflammer sous les bombes a...

CE PLAISIR QU’ON DIT CHARNEL

(Carnal knowledge) Mike NICHOLS - USA 1971 1h40mn VOSTF - avec Jack Nicholson, Candice Bergen, Ann-Margret, Arthur Garfunkel, Carol Kane... Scénario de Jules Feiffer.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

CE PLAISIR QU’ON DIT CHARNELDepuis l’université jusqu’à l’âge mûr, l’itinéraire psychologique, sentimental et sexuel de deux hommes (Nicholson et Garfunkel sans Simon sont sur un plateau, l’un éclipse totalement l’autre, devinez lequel crève l’écran) : au fil d’une vingtaine d’années, Jonathan et Sandy face aux femmes, face à la femme, à la féminité.

Cinquante après sa réalisation, cette vision féroce de l’homme américain, entre humour et cruauté, fait encore mouche. Grâce à l’écriture incisive de Jules Feiffer – dessinateur de presse et de BD aussi célèbre à l’époque que corrosif toujours –, à la mise en scène très sûre de Mike Nichols – déjà réalisateur de Qui a peur de Virginia Woolf (1965), et surtout Le Lauréat (1968) –, et au formidable trio Nicholson / Candice Bergen / Ann-Margret.
À l’heure de la libération sexuelle du début des années 70, Jonathan, le séducteur cynique, et Sandy, l’incurable romantique, constituent les deux faces d’un Américain type à la recherche de la « femme idéale ». Sans prendre parti pour l’un ou l’autre, Mike Nichols leur oppose des femmes qui donnent le tournis mais qui mènent la danse, voire font tourner en bourrique les deux mâles.