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Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...
Stop Bolloré ! L'appel du collectif
Le collectif Stop Bolloré a vu le jour en décembre 2021 et rassemble des membres et des organisations de la société civile qui s’inquiètent de la concentration des médias et de l’édition en France et des dangers que cela représente pour la démocratie. Le projet du collectif, qui est poli...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°101 au n°117
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°101 au n°117 Samedi 17 avril Hier, fin N° 101. Juliette Binoche, 30 ans plus tard, et magnifique, dans un autre de ses plus beaux rôles. La musique, c’est le célébrissime Canon en ré majeur de Johann Pa...
Quiz des "trente dernières secondes" du n°51 au n°100
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°51 au N°100 //////////////////////////////////////// Vendredi 26 février Hier, fin N° 51. Saisissante. Tout comme l’est la séquence d’ouverture du film, qui montre la jungle s’enflammer sous les bombes a...
Du 26/01/22 au 14/02/22
5 FILMS DE L’ÂGE D’OR DU CINÉMA MEXICAIN
Surnommé le « roi du mélodrame » (étiquette hâtive et réductrice) et néanmoins presque totalement méconnu en France, Roberto Gavaldon (1909-1986) est l’un des pionniers de l’âge d’or du cinéma mexicain. Ses personnages tourmentés et son style inspiré du film noir américain en font un grand peintre de la passion. C’est une vraie découverte que nous offrent les Films du Camélia, à travers cinq de ses fiLms les plus marquants (il en a réalisé plus de cinquante en plus de quarante ans de carrière).
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Maria, une employée sans le sou, assassine sa sœur jumelle, Magdalena, une riche bourgeoise récemment veuve, pour profiter ainsi de l’immense fortune dont elle vient d’hériter… Dans ce grand mélodrame noir, Gavaldon fait appel à Dolores Del Río pour le rôle principal, une actrice formée comme lui dans le Hollywood du muet… Il s’agit ici d’un suspense, avec un crime passionnel, auquel participent des sœurs jumelles jouées par la même comédienne. Dans ce film, photographié de manière magistral... (lire la suite)
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Luisa quitte sa campagne pour travailler à Mexico dans la pâtisserie de Don Albino, qui lui fait gentiment les yeux doux. La jeune femme, qui ne rêve que de trouver un époux et de fonder une famille, se réfugie dans le mensonge pour tromper la solitude et l’isolement. C’est bien Luisa qui est au centre de l’histoire, à une époque où les films noirs de l’autre côté de la frontière, à Hollywood, sont la plupart du temps portés par des hommes. Il est ici question d’une innocente jeune femme venue ... (lire la suite)
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Pour célébrer son anniversaire de mariage, Antonio, un riche aristocrate, organise une fête au cours de laquelle il offre à son épouse, Elena, la statue d’une femme nue agenouillée. Le modèle se trouve être Raquel, la maîtresse d’Antonio invitée à la fête, qui souhaite rompre avec son amant… Dans ce film, Gavaldón revient à sa prédilection pour le récit noir… Ce qui est intéressant dans la trame du récit est la minutieuse construction de l’archétype de la femme fatale… Une fois de plus, l’iro... (lire la suite)
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La Nuit avance suit donc le parcours de Marcos Arizmendi, un joueur de Jaï-alaï (pelote basque) moralement répréhensible, qui traite son entourage, et surtout les femmes qui l’adorent, avec mépris. Lorsqu’il refuse les avances d’un maître-chanteur qui voudrait le faire peser sur l’issue d’un match important, il entre dans une spirale vertigineuse de débauche et de délinquance. Ici, Gavaldón explore la désillusion sociale, la violence et le meurtre, sur fond de nuit sans fin, au cœur de Mexico, ... (lire la suite)
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Un charlatan se fait passer pour un voyant afin d’escroquer les clientes de l’institut de beauté où travaille sa femme. Il tente de faire chanter l’une d’elles qu’il soupçonne d’avoir tué son mari… À l’écriture de Mains criminelles participe Luis Spota, un chroniqueur urbain remarquable qui révèle les vices de la bourgeoisie mexicaine des années quarante. Mains criminelles est un très bon exemple de la maîtrise narrative du cinéaste. Remplaçant la vieille formule qui consiste à montrer une fe... (lire la suite)