UTOPIA SAINTE BERNADETTE
5 avenue du Docteur Pezet, 34090 Montpellier (Tram 1 Saint Eloi)


INFOS PRATIQUES et TARIFS

LA GAZETTE UTOPIA (à télécharger au format PDF)
Où trouver la gazette (carte des dépôts)

RSS Cinéma
RSS Scolaires
RSS Blog

(Quid des flux RSS ?)

EN DIRECT D'U-BLOG

Le blog des profondeurs...
(de champ)

SÉANCES BÉBÉS
  Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...

30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...

À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...

Soutenez Utopia Palmer

LES FEUX DE LA RAMPE

(Limelight) Écrit et réalisé par Charles CHAPLIN - USA 1952 2h27mn VOSTF - avec Buster Keaton, Claire Bloom, Sydney Chaplin, Charles Chaplin...

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

LES FEUX DE LA RAMPELes feux de la rampe aurait pu être le dernier film de Charles Chaplin. Le réalisateur en a encore tourné deux ensuite, en Europe, mais Limelight, sorti en 1952, sonne comme son testament. Triple testament même que ce film. Celui d’un clown, Cravero, dont le nom suffisait jadis pour remplir les salles et qui doit aujourd’hui en changer pour décrocher de petits contrats. Celui d’un réalisateur, Chaplin, blessé par l’échec public de son film précédent, Monsieur Verdoux. Celui d’un homme enfin, qui reconstitue en studio le Londres de son enfance et qui fait jouer sa famille pour travailler dans la douceur. En grande partie autobiographique, le film porte en lui une profonde tristesse, mais une grande tendresse aussi. Chaplin émeut, tire les larmes, s’étale un peu, en rajoute trop par moments dans les sanglots et la morale, fait rire aussi, comme Cravero qui revit le temps d’une soirée de gala dans laquelle il laissera son cœur fatigué. L’acteur qui joue son partenaire ce soir-là a lui aussi été roi et son nom a également disparu des affiches : Buster Keaton. Pas de doute, Les feux de la rampe est bien, comme le souligne Bertolucci, « la recherche du temps perdu de Charles Chaplin ». (avoir-alire.com)