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RÉTROSPECTIVE ROBERTO ROSSELLINI en 7 films

Du 07/07/21 au 03/08/21

Roberto Rossellini a profondément révolutionné le cinéma en plaçant, au coeur de la mise en scène néoréaliste, une idée de l’homme, et en faisant reposer son style sur une éthique : « Je me suis donné deux objectifs. D’abord, la position morale : regarder sans mystifier, essayer de faire un portrait de nous, aussi honnêtement que possible… L’autreobjectif était de briser les structures industrielles de ces années, d’être capable de conquérir la liberté d’expérimenter sans conditions.

Une fois ces deux objectifs atteints, vous vous apercevez que le problème du style est déjà automatiquement résolu. Quand vous renoncez à faire semblant, à manipuler, vous avez déjà une image, un langage, un style. Le langage, le style du néoréalisme sont là : c’est le résultat d’une position morale, d’un regard critique porté sur l’évident.»


  • ALLEMAGNE ANNÉE ZÉRO

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    Allemagne année zéro est filmé juste après la fin de la seconde guerre mondiale dans un Berlin en ruine. Film tragique où l’on erre avec Edmund, âgé de douze ans, confronté à la dure réalité de la vie de vaincu et d’enfant pauvre. Au delà de la tragédie familiale, Rossellini s’interroge sur les raisons de ce Berlin et a fortiori de l’Allemagne, ruinés et devant repartir à zéro : « Les Allemands étaient des êtres humains comme les autres ; qu’est-ce qui a pu les amener à ce désastre. La fausse mo... (lire la suite)


  • AMORE

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    Amore regroupe deux moyens métrages de Rossellini, La Voix humaine d’après Cocteau, qui décrit une jeune femme abandonnée qui téléphone une dernière fois à son amant ; Le Miracle, d’après un scénario de Fellini, relate l’histoire d’une bergère enceinte d’un vagabond. Anna Magnani ne quitte pas l’écran. Elle l’anime d’une extraordinaire présence. Elle ne donne jamais l’impression de « jouer ». Elle n’est pas non plus « naturelle » au sens néoréaliste du mot : la caméra ne surprend pas de l’ext... (lire la suite)


  • LA PEUR

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    Inspiré de Stefan Zweig, c’est le dernier volet (méconnu) des quatre films du couple Roberto Rossellini-Ingrid Bergman. Le propos provoque le malaise : un mari, directeur d’un laboratoire pharmaceutique, harcèle son épouse, qui a un amant, pour lui faire avouer sa « faute ». La peur, ici, c’est donc celle vécue in vivo par Irène, torturée par la culpabilité. Du Rossellini à l’état pur : il filme les rapports de force entre les êtres, comme des ondes douloureuses ou bienfaitrices. Rarement Bergma... (lire la suite)


  • PAÏSA

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    Païsa fixe six moments de la libération du sol italien pendant la campagne 1943-1944 et campe, en six courtes nouvelles filmées, le climat héroïque ou pitoyable dans lequel elle s’accomplit. « On trouve à l’intérieur de chaque épisode un ou plusieurs points de vue très particuliers sur la guerre, mais aussi une vision universelle sur chaque situation décrite. C’est le vrai film de guerre : celui qui s’attache plus aux conséquences humaines d’un conflit qu’aux enjeux politico-militaires… » (V.... (lire la suite)


  • ROME VILLE OUVERTE

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    Rome, hiver 1944. Un ingénieur communiste, Giorgio Manfredi, tente d’échapper aux Allemands qui occupent la ville. Il se réfugie chez un ami dont la fiancée, Pina, le met en contact avec le curé de la paroisse Don Pietro. Mais la maîtresse de Manfredi va tous les dénoncer aux Allemands… Le premier chef d’œuvre du néoréalisme italien, d’une force et d’une authenticité intactes.... (lire la suite)


  • STROMBOLI

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    Assignée dans un camp de réfugiés, Karin, une jeune Lituanienne, ne peut quitter l’Italie de l’après-guerre. Pour sortir du camp, elle accepte d’épouser Antonio, un jeune pêcheur de l’île volcanique de Stromboli. Mais la vie sur l’île devient rapidement un enfer pour elle, entre la barrière de la langue et la violence de son mari. Elle décide de fuir… « Ce qui saute aux yeux, en revoyant ce film, c’est la passion d’un cinéaste pour une actrice. Rarement on aura été aussi loin dans le filmage ... (lire la suite)


  • VOYAGE EN ITALIE

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    Un couple d’Anglais part au Sud de l’Italie afin d’y vendre une propriété récemment héritée. Leur relation, empreinte de distance, empire au contact de Naples, de ses habitants et fantômes. Avec elle, il se montre sarcastique ; avec lui, elle est critique. C’est l’illustration faussement simple d’un couple las dont le mariage se désagrège, transformée par Roberto Rossellini en une histoire passionnée, mêlant cruauté et cynisme. Un film-phare, préfigurant Antonioni et la Nouvelle Vague. Refus ... (lire la suite)