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DANS LA GAZETTE !
LA GAZETTE UTOPIA 318 DU 10 MAI AU 20 JUIN 2023
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LA GAZETTE UTOPIA 317 DU 5 AVRIL au 9 MAI 2023 (À TÉLÉCHARGER)
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LA GAZETTE UTOPIA 316 DU 22 FÉVRIER AU 4 AVRIL 2023 (À TÉLÉCHARGER)
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LA GAZETTE UTOPIA 315 DU 18 JANVIER AU 21 FÉVRIER 2023 (À TÉLÉCHARGER)
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Du 17/05/22 au 26/07/22
RETROUVEZ LES FILMS DU FESTIVAL DE CANNES 2022 DANS VOTRE SALLE UTOPIA
AVANT-PREMIÈRE DE L'ÉTÉ #2 LE MERCREDI 6 JUILLET À 20H30 À UTOPIA SAINT-OUEN
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Cet incroyable thriller, haletant, tendu comme l’arc d’un maître du kyudo (discipline traditionnelle japonaise), confirme le talent éclatant de Rodrigo Sorogoyen, réalisateur espagnol qui s’offre avec ce nouvel opus une passe de trois impressionnante, puisque As Bestas vient après les formidables El Reino (2018) et Madre (2020) – déjà co-écrits avec Isabel Peña –, programmés et ardemment défendus dans nos salles. Autre confirmation d’importance, celle de l’acteur français Denis Ménochet, qui nou... (lire la suite)
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Cet incroyable thriller, haletant, tendu comme l’arc d’un maître du kyudo (discipline traditionnelle japonaise), confirme le talent éclatant de Rodrigo Sorogoyen, réalisateur espagnol qui s’offre avec ce nouvel opus une passe de trois impressionnante, puisque As Bestas vient après les formidables El Reino (2018) et Madre (2020) – déjà co-écrits avec Isabel Peña –, programmés et ardemment défendus dans nos salles. Autre confirmation d’importance, celle de l’acteur français Denis Ménochet, qui nou... (lire la suite)
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« COUPEZ ! est un film high concept. C’est un film qui commence de manière catastrophique, et dont le concept se révèle à mesure que l’histoire avance, pour finir de manière très inattendue. Se présentant au départ comme un film de zombies de sous-catégorie il va progressivement passer au détournement de films de zombies, puis se transformer en comédie de situations, pour finir dans un genre nouveau, qui, en s’apparentant à un faux making of, réunit toutes les facettes que le film a... (lire la suite)
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« COUPEZ ! est un film high concept. C’est un film qui commence de manière catastrophique, et dont le concept se révèle à mesure que l’histoire avance, pour finir de manière très inattendue. Se présentant au départ comme un film de zombies de sous-catégorie il va progressivement passer au détournement de films de zombies, puis se transformer en comédie de situations, pour finir dans un genre nouveau, qui, en s’apparentant à un faux making of, réunit toutes les facettes que le film a... (lire la suite)
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Après les deux réussites majeures que furent, dans des genres et des styles très différents, le fulgurant Old boy (2003) et l’ultra-raffiné Mademoiselle (2016), Decision to leave nous rappelle dès ses premières images cette évidence (qu’a entérinée le jury du récent Festival de Cannes en lui décernant le Prix de la mise en scène) : Park Chan-wook est l’un des plus grands stylistes du cinéma contemporain. Le voici de retour avec un film qui, comme il sait si bien le faire, marie les genres, mêlan... (lire la suite)
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À chacun de ses films, Serge Bozon a l’art et la manière de s’attaquer à des genres différents, en en détournant à chaque fois les codes, avec une fantaisie qui lui est propre. Film de guerre, policier ou fantastique, il n’a jamais placé l’action au cœur de ses récits, préférant s’attacher aux comportements de ses personnages, à leurs tics, à leur relation singulière au monde. Son approche résolument anti-naturaliste, qui peut surprendre ou dérouter par son côté parfois artificiel ou par le cara... (lire la suite)
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Fidèle à son style flamboyant, à sa puissance visuelle, à son esthétique baroque, le réalisateur de Moulin Rouge et Gatsby le Magnifique (sélectionnés sur la Croisette en 2001 et 2013), signe avec Elvis, un film de 2h40, inspiré et nerveux, sur la gloire et la chute d’une légende américaine, Elvis Aaron Presley. Mieux qu’un biopic, il s’agit d’une allégorie sur l’Amérique des années 1950-1960/1970 et le destin exceptionnel d’un petit gars de Tupelo (Mississippi), né le 8 janvier 1935 et mort, à ... (lire la suite)
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Des chuchotements dans le noir. Quelques mots, délicats. Avant même que l'image n'apparaisse, le spectateur est confronté au deuil. On songe aux débuts de Desplechin, à La Vie des morts, à La Sentinelle. Mais très vite la tragédie s'éclaire, terrible. L'enfant de la famille est mort. Un homme fait son entrée pour présenter ses condoléances au couple et se fait violemment refouler par le père, hors de lui (Melvil Poupaud, écrivain). Après les chuchotements, les cris, les menaces, l'expression d'u... (lire la suite)
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Depuis près d’un demi-siècle, La Maman et la putain hante le cinéma, faisant figure de totem pour les cinéphiles et les cinéastes – français mais pas seulement. Le culte qu’il génère auprès de celles et ceux qui font le cinéma aujourd’hui est international, la liste de ses fans, génération après génération, donne le tournis : elle va de Wim Wenders à Michael Haneke, de Jane Campion à Claire Denis, de Jim Jarmusch à Jacques Audiard, de John Waters à Gaspar Noé, à Noah Baumbach, à Cédric Klapisch,... (lire la suite)
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Ne pas connaitre la vérité. Risquer de ne jamais la connaître. C’est comme un poison qui s’immisce dans les pensées, dans les rêves. Une addiction larvée qui ronge de l’intérieur. « Chaque enquêteur tombe un jour sur un crime qui fait plus mal que les autres, qui, pour une raison mystérieuse, se plante en lui comme une écharde, et la plaie n’en finit pas de s’infecter. ». C’est cette phrase qui plane sur cette nuit du 12, à jamais suspendue, entêtante avec ses parts de mystères non élucidées. Un... (lire la suite)
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Cher David Cronenberg, vous exagérez. C’est entendu, vous aurez bientôt 80 ans mais quand même, huit longues années qu’on attendait un nouveau film de vous ! Huit ans depuis Map of the stars… Bon allez, on vous pardonne parce qu’il semble bien que vous revenez à vos vraies amours, vos vraies obsessions gentiment malsaines, que vos fans invétérés ont aimé par dessus tout quand ils vos ont découvert à l’orée des années 80 et qui ont fait de vous ce cinéaste unique et incomparable. D’après ce qu’o... (lire la suite)
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Si vous pensiez avoir tout vu sur la réalité de l’Iran contemporain, Les Nuits de Mashhad va vous détromper séance tenante ! Ali Abbasi, réalisateur d’origine iranienne expatrié en Suède, déjà auteur de l’excellent et totalement suédois Border (2018), revient à son pays natal – même si le tournage s’est déroulé en Jordanie – avec un thriller implacable qui ne devrait laisser personne indifférent. En tout cas, du côté du ministère iranien de la Culture, la sélection du film au festival de Cannes ... (lire la suite)