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MON NOM EST PERSONNE

Tonino VALERII - Italie 1973 1h56mn - avec Terrence Hill, Henry Fonda, Jean Martin, Antonio Palombi, Geoffrey Lewis... Scénario de Sergio Leone, Fulvio Morsella et Ernesto Gastaldi. Pour les enfants à partir de 10 ans. Produit et supervisé par Sergio Leone - Musique d’Ennio Morricone.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

MON NOM EST PERSONNEJack Beauregard (Fonda), légende de l’Ouest, désire mettre un terme à sa carrière de pistolero et envisage de s’embarquer pour l’Europe. Mais un jeune admirateur, affirmant s’appeler Personne (Hill), ne l’entend pas de cette oreille. Il veut faire entrer Beauregard dans l’Histoire en l’amenant à combattre la Horde sauvage, une bande de tueurs qui sème la terreur dans plusieurs états de l’Ouest…

« Au début des années 70, constatant avec dépit que le médiocre western parodique italien On l’appelle Trinita remporte plus de succès que ses propres films, Sergio Leone décide de contre-attaquer : il imagine et produit un western comique qui propulse Terence Hill, le guignol bellâtre qui fait rigoler la péninsule, dans les jambes d’Henry Fonda, rescapé d’Il était une fois dans l’ouest. Ce sera Mon nom est Personne. La rencontre du bouffon et de la légende vivante, prétexte à une réflexion mélancolique sur la filiation, la vieillesse et la fin d’une époque, fonctionne à la perfection, contre toute attente, et la recette commerciale n’est pas dépourvue d’ambition et de talent. Ce titre éminemment populaire, énorme succès public en son temps, cache un très beau film. Il s’agit d’un postscriptum à la fois ironique et émouvant à l’œuvre cinématographique de Leone, et aussi un adieu au western en général grâce à la magnifique présence de Fonda.
« Le cinéaste Tonino Valerii, auteur de quelques honorables westerns et films bis, n’a jamais fait mieux avant et après Mon nom est Personne, ce qui alimenta la rumeur que Leone en était davantage que le producteur. Il est vrai que le style visuel du film est très léonien, sans parler de la musique géniale d’Ennio Morricone. Valerii, dépossédé de son film par l’omnipotent Leone qui tourna en effet quelques séquences (notamment la magnifique ouverture), ne cachera pas son amertume et niera toute sa vie les interventions du parrain du western italien sur sa mise en scène. En vain. » (Olivier Père, Directeur de l’Unité Cinéma d’Arte France)