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LOUIS MALLE - GENTLEMAN PROVOCATEUR

Du 09/11/22 au 06/12/22

Au croisement de la Nouvelle Vague, du cinéma d’auteur français et du cinéma indépendant américain, Louis Malle s’attaque à tous les sujets et fait fi des interdits et des tabous qui corsètent la bonne société française. En 1963, il adapte avec Le Feu follet le sulfureux Drieu la Rochelle. En 1974, avec Patrick Modiano, grand spécialiste de la période, il peint dans Lacombe Lucien un portrait acerbe de la France de la collaboration et du régime de Vichy. Dans les années 1970, La Petite (inspiré de la vie du photographe Ernest J. Bellocq) et Le Souffle au cœur provoquent la polémique. Avec la complicité de Jean-Claude Carrière, il livre avec Milou en mai une peinture surréaliste et désopilante de la bourgeoisie à l’épreuve de Mai 68. Il signe aussi de grands succès populaires comme Au revoir les enfants, lauréat de 7 César en 1988. L’occasion de revoir sur grand écran ceux qui ont accompagné son œuvre : Jeanne Moreau, Maurice Ronet, Jean-Paul Belmondo…


  • ASCENSEUR POUR L'ÉCHAFAUD

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Louis Malle (il avait alors 24 ans) a conçu son premier long métrage comme un lent compte à rebours. Un homme assassine le mari de sa maîtresse. Elle est parfaitement au courant, a imaginé et préparé le meurtre avec lui. Au moment de s'enfuir dans sa voiture, il réalise qu'il a oublié la corde qui lui a servi à grimper d'un balcon à l'autre. Il retourne sur les lieux et prend l'ascenseur. Le gardien coupe soudainement le courant pour le week-end. Le meurtrier reste coincé entre deux étages. A l'... (lire la suite)


  • LE FEU FOLLET

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Ravagé par l’alcool et le désespoir, Alain Leroy (Maurice Ronet) vient de suivre une cure de désintoxication dans une clinique de Versailles. Envahi par un irrésistible dégoût de la vie, il rompt l’un après l’autre les derniers liens qui le retenaient. Il abandonne la jolie Lydia (Léna Skerla) qui voulait le sauver, il résiste à son médecin qui tentait de le réconcilier avec sa femme, il rencontre par hasard un ami d’autrefois (Bernard Noël), embourgeoisé et insupportable. Grâce à Jeanne (Jeanne... (lire la suite)


  • LE SOUFFLE AU COEUR

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    Dijon, 1954. Une famille bourgeoise. Laurent (Benoît Ferreux), 15 ans, vit avec son père, ses deux frères et sa mère, Clara (Lea Massari.) Sa vie est une suite de faits plus ou moins notables jusqu’au jour où il est atteint d’un souffle au cœur. Il part en compagnie de sa mère faire une cure dans le Morvan. Un tendre marivaudage s’instaure alors entre eux. Avec ses aspects autobiographiques, Le Souffle au cœur est une chronique adolescente sensible et fine. On y retrouve une description détaill... (lire la suite)


  • LE VOLEUR

    (ATTENTION ! Cette page est une archive !)

    Que le grand cric me croque, saperlipopette ! J'avais oublié que Belmondo avait été un aussi grand acteur : il est ici superbe d'intensité retenue, de douleur goguenarde, en malfrat sans dieu ni maître, en séducteur désabusé et dilettante dont l'amoralité n'a d'égale que son habileté à détrousser son propre clan : une bourgeoisie confite qui lui inspire un dégoût viscéral. J'avais oublié qu'elles étaient aussi belles : Geneviève Bujold, Marlène Jobert, Marie Dubois, Françoise Fabian, Bernadette ... (lire la suite)