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Install-party samedi 18 juin à Tournefeuille
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INDIANA JONES ET LE CADRAN DE LA DESTINÉE

James MANGOLD - USA 2023 2h34mn VOSTF - avec Harrison Ford, Phoebe Waller-Bridge, Mads Mikkelsen, Antonio Banderas... Scénario de James Mangold, John-Henry Butterworth, Jez Butterworth et David Koepp.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

INDIANA JONES ET LE CADRAN DE LA DESTINÉEDans quel état allait-on retrouver notre archéologue préféré, après un quatrième volet calamiteux en 2008 (Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal)… ? Comment Harrison Ford, désormais octogénaire, allait-il pouvoir porter l’écrasant fardeau de son personnage fétiche ?

La réponse repose sur un excitant paradoxe : le héros de notre enfance accepte à la fois de vieillir… et de rajeunir. Le temps d’un enthousiasmant prologue situé en 1944 dans un château truffé de nazis, Indy nous est en effet rendu dans toute sa gloire d’antan, coriace et sexy, période Aventuriers de l’arche perdue… On a l’impression de découvrir un excellent épisode inédit, retrouvé au fond d’un placard. Même rythme, même humour, même univers façon BD ligne claire.
Cette « reconstitution » du jeune Harrison Ford, grâce à une technologie numérique spectaculaire et à peine perceptible, n’est que le premier cadeau que nous réserve cette généreuse aventure, très fidèle à l’esprit de la saga originelle, avec un supplément de connivence affectueuse et un brin de dérision mélancolique. Où l’on retrouve, en 1969, un professeur Jones nettement moins fringant, vieil ours désormais au seuil de la retraite.

Et voilà que dans la vie du héros ronchon débarque soudain sa filleule Helena (Phoebe Waller-Bridge, malicieuse à souhait). Elle cherche le fameux cadran, inventé dans l’Antiquité par Archimède. Objet de toutes les convoitises, cet instrument permet de revisiter le passé. Et donc de le faire dérailler. C’est en tout cas le rêve de l’infâme scientifique nazi Jürgen Voller (Mads Mikkelsen, parfait superméchant) : changer le cours de la Seconde Guerre mondiale… De courses-poursuites mémorables en multiples clins d’œil aux films précédents… le mythe prend un grand coup de fouet. (C. Mury, Télérama)