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Le blog des profondeurs...
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30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...

Stop Bolloré ! L'appel du collectif
Le collectif Stop Bolloré a vu le jour en décembre 2021 et rassemble des membres et des organisations de la société civile qui s’inquiètent de la concentration des médias et de l’édition en France et des dangers que cela représente pour la démocratie. Le projet du collectif, qui est poli...

Quiz des "trente dernières secondes" du n°101 au n°117
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°101 au n°117   Samedi 17 avril Hier, fin N° 101. Juliette Binoche, 30 ans plus tard, et magnifique, dans un autre de ses plus beaux rôles. La musique, c’est le célébrissime Canon en ré majeur de Johann Pa...

Quiz des "trente dernières secondes" du n°51 au n°100
Ici sont archivées les publications du quiz des “trente dernières secondes” du n°51 au N°100 //////////////////////////////////////// Vendredi 26 février  Hier, fin N° 51. Saisissante. Tout comme l’est la séquence d’ouverture du film, qui montre la jungle s’enflammer sous les bombes a...

JEUX DE NUIT

(Nattlek) Mai Zetterling - Suède 1966 1h45mn VOSTF - avec Ingrid Thulin, Keve Hjelm, Lena Brundin...

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

JEUX DE NUITAdapté de son propre roman sorti la même année, ce deuxième opus sonde les relations toxiques d’une mère et de son jeune fils de 12 ans, si perturbant et tapageur que le festival de Venise préférera en interdire la projection au public. Le film plongeant dans les affres d’un trauma œdipien, est le récit d’une libération : Jan, jeune homme distant et semble-t-il impuissant, emmène sa fiancée dans la maison où il vécut enfant auprès d’une mère fantasque et abusive. Exploitant admirablement l’architecture baroque du manoir, avec ses larges escaliers en colimaçon, ses pièces immenses où le regard se perd, la caméra emboîte le pas du jeune homme, assailli par les souvenirs qui lui reviennent par bribes diffractées, passant au détour d’un raccord, d’une rime visuelle, de l’état d’adulte à l’enfant qu’il était, évoluant dans ce décor métamorphe comme en sa propre psyché malade, au milieu d’une foule orgiaque : pour se libérer du trauma, il faut savoir le regarder en face.