SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pouc...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...
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Cinéma et domaine public à l'ère d'Internet (ciné-concert, suivi d'un débat)
le mercredi 9 juillet à 20h, on fête le domaine public.
La séance sera suivie d'une rencontre avec Véronique Boukali et Alexis Kauffmann, fondateurs de "Romaine Lubrique", projet de valorisation culturelle du domaine public, et du réseau Framasoft dédié au logiciel libre.
de Edgar G. Ulmer (USA, 1945, 1h08, VOSTF), avec Tom Neal, Ann Savage, Claudia Drake...
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Longtemps été considéré comme l'archétype du film de série B (sans moyens et sans ambition), Détour est un film noir d'une redoutable efficacité, qui va à l'essentiel et fait une force de son budget ridicule.
À New York, un pianiste sans le sou décide de rejoindre la femme qu’il aime à Hollywood où elle veut tenter sa chance en tant que chanteuse. Mais sa traversée de l’Amérique va vite virer à la descente aux enfers. Des cafés concerts new-yorkais aux juke-box des dîners, des motels un peu glauques aux stations essence, en passant par de sombres histoires de meurtres, d’usurpation d’identité, d’argent sale et de mystère : le film noir par excellence.
Edgar G. Ulmer fait partie des nombreux réalisateurs européens qui se sont exilés en Amérique. Assistant de Murnau sur L’Aurore, l’influence du grand maître se fait sentir dans ce film : une inventivité visuelle réjouissante, et un mélange fécond entre l’atmosphère typiquement américaine et la culture européenne de son auteur.
En première partie du film Détour :
Mini-ciné-concert de Véronique Boukali / Romaine Lubrique qui accompagne (à l'accordéon) deux merveilles de courts métrages : Max et son âne de Max Linder et Un drame chez les fantoches d'Émile Cohl.
Un drame chez les fantoches (Emile Cohl, animation, 1908, 3 mn)
Terreur sur la ville : un malfaiteur s’en prend aux bonnes gens et trouble l’ordre public. Il y a du guignol et du conte de fée dans ce petit film de quelques minutes. Des dessins très simples mais très expressifs.
Max et son âne (Max Linder, 1912, 7 mn)
On y retrouve le personnage récurrent inventé et interprété par Max Linder : un parfait séducteur, portant frac, haut de forme et fines moustaches. Sérénade au parc, course-poursuite, travestissement et coup de théâtre: un concentré de comédie.