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SÉANCES BÉBÉS
  Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...

30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...

À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...

CINÉ-BRUNCH

Également au programme - 30 ans de la TV SERRANA - GRANDPUITS ET PETITES VICTOIRES - VIGNERONNES

Séance unique le dimanche 12 mars à 11h, présentée et animée par l’association Arrêt du nucléaire 34, en souvenir de l’accident nucléaire catastrophique du 11 mars 2011 à Fukushima. La projection sera suivie d’un débat avec Thierry Ribault, réalisateur du film, chercheur au CNRS et auteur du livre Contre la résilience à Fukushima et ailleurs. Après le film nous vous invitons à venir partager un brunch pour échanger et refaire le monde (sans nucléaire).

Le vendredi 10 mars à 19h, Thierry Ribault sera à la librairie Le Grain des Mots, pour une séance de dédicaces.

GAMBARÔ

Alain SAULIÈRE et Thierry RIBAULT - documentaire France 2014 50mn -

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

Dans ce très beau film documentaire sorti en 2014, Alain Saulière et Thierry Ribault recueillent les paroles de Japonaises et Japonais sur la façon dont ils ont vécu la catastrophe de Fukushima et sur comment ils se positionnent face au nucléaire. L’intérêt du film vient, entre autre, du temps que les deux réalisateurs passent avec les gens qu’ils filment. Ils ne cherchent pas à construire leur propos à travers un montage de bribes de témoignages montés ensembles mais laissent la place aux personnes.
À travers ces témoignages différents et ces personnalités variées, Gambaro dresse le portrait d’un Japon en pleine remise en question, tant sur le nucléaire et l’écologie que plus largement sur la politique et le capitalisme.

Loin de se positionner comme des victimes, ces personnes ont adopté des postures actives, citoyennes et réfléchies. Ils sont les survivants et survivantes d’une catastrophe nucléaire.
Le film propose ainsi un moment de réflexion et de méditation sur des thématiques diverses. Sont ainsi abordés le mythe de Sisyphe, la relation de l’individu à l’État, la résistance et la soumission, le déni et enfin, la signification profonde du fait d’être « sauvé ». Car c’est bien la menace qui constitue un des grands thèmes du film : celle que le désastre nucléaire fait peser sur les humains.