PONTOISE
SAINT-OUEN L'AUMÔNE
LES HORAIRES (format PDF)
- DU 24/07/24 AU 30/07/24
- ARIZONA DREAM (D)
- EL PROFESOR (D)
- L’ARBRE À CONTES (D)
- LE COMTE DE MONTE-CRISTO (D)
- LES PISTOLETS EN PLASTIQUE (D)
- POURQUOI TU SOURIS ? (D)
- SANTOSH (D)
- TEHACHAPI (D)
- TYPHOON CLUB (D)
- UN P'TIT TRUC EN PLUS (D)
- UNE AUTRE VIE QUE LA MIENNE (D)
- VICE-VERSA 2 (D)
LES FILMS PROGRAMMÉS
DU 27/07/24 AU 02/08/24
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NOS TARIFS :
TARIF NORMAL : 7,50€
CARNET D'ABONNEMENT : 55€ (10 places, non nominatives, non limités dans le temps, et valables dans tous les Utopia)
Groupe ( >30p.) : 3,50€
TARIF étudiants, lycéens, collégiens, demandeurs d'emploi, bénéficiaires du RSA : 4,50€ (sur présentation d'un justificatif). PASS CAMPUS : 4 euros. Paiement CB, Chèque ou Espèces.
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LA GAZETTE UTOPIA 328 DU 19 JUIN AU 30 JUILLET 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 327 DU 15 MAI AU 18 JUIN 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 326 DU 10 AVRIL AU 14 MAI 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 325 du 28 FÉVRIER AU 9 AVRIL 2024
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Rétrospective YASUJIRO OZU 120 ans : 6 films rares
Également au programme - DERNIER CAPRICE - FEMMES ET VOYOUS - IL ÉTAIT UN PÈRE - LES SOEURS MUNAKATA - UNE FEMME DANS LE VENT
RÉCIT D’UN PROPRIÉTAIRE
(NAGAYA SHINSHIROKU) Yasujiro Ozu - Japon 1947 1h12mn VOSTF - avec Choko Lida, Tomihiro Aoki, Takeshi Sakamoto, Eitaro Ozawa, Chishu Ryu... Scénario de Tadao Ikeda et Yasujiro Ozu.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Un petit garçon, orphelin de guerre, est retrouvé un soir au bord d’une route. Personne dans le voisinage ne veut s’en encombrer et c’est une veuve, Tané, qui se retrouve avec ce gamin sur le dos. D’abord tendus – Tané essaie de se débarasser du fardeau par tous les moyens – leurs rapports s’adoucissent, ils s’apprivoisent.
« Cette chronique douce-amère s’intéresse à la classe modeste des faubourgs du Tokyo de l’immédiat après-guerre. Des enfants orphelins sont livrés à eux-mêmes, et un petit garçon s’invite dans la vie de Tane : par un tirage au sort organisé par les habitants du quartier, c’est elle qui est désignée pour l’accueillir. Elle cherchera à s’en débarrasser, ne souhaitant en aucun cas s’occuper de ce gamin mutique. L’époque est à l’égoïsme ; le film, tout à la fois cynique et poétique, n’enjolive pas cette relation forcée. Mais encore une fois, c’est le sort qui décide et Ozu décrit à la fois deux naissances, celle d’un attachement, et celle d’une famille nouvelle (la séquence chez le photographe est, à ce titre, très belle). En creux, le délitement de la famille institutionnelle… » (Festival Lumière)
