SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pouc...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
À LA VIE À LA MORT
Quelle joie de se retrouver sous les étoiles hier à Berat, en Haute-Garonne!Expo, rencontre et ciné avec Nevada. Quel bonheur.Déjà 200 personnes pour les prémisses d’un nouveau lieu vivant et pluridisciplinaire co animé par les habitants. Ce sont les premières festivités de l’été d’Utopia et du ...
Également au programme - AUTOUR DU TANUR - AYA - CEUX DE LA NUIT - LA CAMIONNETTE BLANCHE, radioscopie d’une rumeur - LE CHANT DES VIVANTS - LES ENGAGÉS - YALLAH GAZA !
Séance le dimanche 19 novembre à 11h en présence de la réalisatrice du film Basela Abou Hamed et en partenariat avec l’Association France Palestine Solidarité 34 (AFPS 34). La séance sera suivie d’un brunch oriental.
Film documentaire de
Basela ABOU HAMED
France / Palestine 2021 47mn, VOSTF
Du 15/11/23 au 04/12/23
« Dans ce film, je raconte l’histoire d’un réfugié palestinien parmi d’autres. » Ces mots, sont ceux de la réalisatrice en in- troduction du documentaire émouvant qu’elle a réalisé sur son père. En 1948, Hamed (12 ans) et sa famille s’enfuient de leur village d’Ijzim sous la menace des milices sionistes. S’ensuit un long exil, de Jénine à Ramallah, puis en Syrie de Deraa à Damas. Là, dans le camp de Yarmouk, ils et elles étudient, travaillent, font des enfants, qui font des enfants à leur tour. En 2012, la guerre civile fait rage. Le camp est bombardé et assié- gé par l’armée syrienne durant plusieurs mois, la famille Abou Hamed ne voit qu’une seule issue, un nouvel exil, vers la France.