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Le Toulouse Hacker Space Factory (THSF) explore depuis 2010 les espaces de dérivation de l’emprise des technologies sur nos vies, en particulier celles en mutation du monde numériques et cybernétique. Les vidéos des interventions sont disponibles sur le site de TV Bruits https://tvbruits.org/spi...

FMR a fêté ses 40 ans à Borderouge
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30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...

Install-party samedi 18 juin à Tournefeuille
Vous voulez déconfiner durablement vos ordinateurs ? Envie de découvrir une informatique libre, éthique et accessible ? Vous vous sentez une affection naissante pour les gnous et les pinguins ? L’association Toulibre vous propose de venir découvrir les Logiciels Libres, et comme le premier pas v...

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CE PLAISIR QU’ON DIT CHARNEL

(Carnal knowledge) Mike NICHOLS - USA 1971 1h40mn VOSTF - avec Jack Nicholson, Candice Bergen, Ann-Margret, Arthur Garfunkel, Carol Kane... Scénario de Jules Feiffer.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

CE PLAISIR QU’ON DIT CHARNELDepuis l’université jusqu’à l’âge mûr, l’itinéraire psychologique, sentimental et sexuel de deux hommes (Nicholson et Garfunkel sans Simon sont sur un plateau, l’un éclipse totalement l’autre, devinez lequel crève l’écran) : au fil d’une vingtaine d’années, Jonathan et Sandy face aux femmes, face à la femme, à la féminité.

Cinquante après sa réalisation, cette vision féroce de l’homme américain, entre humour et cruauté, fait encore mouche. Grâce à l’écriture incisive de Jules Feiffer – dessinateur de presse et de BD aussi célèbre à l’époque que corrosif toujours –, à la mise en scène très sûre de Mike Nichols – déjà réalisateur de Qui a peur de Virginia Woolf (1965), et surtout Le Lauréat (1968) –, et au formidable trio Nicholson / Candice Bergen / Ann-Margret.
À l’heure de la libération sexuelle du début des années 70, Jonathan, le séducteur cynique, et Sandy, l’incurable romantique, constituent les deux faces d’un Américain type à la recherche de la « femme idéale ». Sans prendre parti pour l’un ou l’autre, Mike Nichols leur oppose des femmes qui donnent le tournis mais qui mènent la danse, voire font tourner en bourrique les deux mâles.