Coopérative QUI VIVRA BÉRAT habitat partagé en évolution la Ménardière
Une autre façon de vivre ? Une autre façon de vieillir ? Voilà 4 ans, qu’un groupe de retraités a investi le Domaine de la Ménardière en créant une coopérative. Objectif : Vivre et vieillir ensemble solidaires et actifs jusqu’au bout du chemin. Chambres d’hôtes, Conc...
SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
Également au programme - LA COMPLAINTE DU SENTIER - LE MONDE D’APU
La séance du jeudi 14 décembre à 20h sera présentée par Amandine d’Azevedo, maître de conférence à l’université Paul Valéry et spécialiste des cinémas indiens.
(Aparajito) Satyajit RAY - Inde 1956 1h50mn VOSTF - avec Karuna Bandyopadhyay, Smaran Kumar Ghoshal, Pinaki Sengupta, Kanu Bandyopadhyay... Lion d’or à la Mostra de Venise 1957.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Récompensé par le Lion d’or à la Mostra de Venise pour ces qualités essentielles que sont « la simplicité d’expression et la sincérité de l’inspiration », le second opus de la Trilogie d’Apu installe définitivement son auteur dans le cinéma contemporain.
L’Invaincu est un film pudique, marqué du sceau de la dualité : la nature de La Complainte du sentier face à la foule des villes de Bénarès et de Calcutta, le devoir familial ou les désirs personnels, la tradition ou la modernité. Adolescent, puis jeune adulte, Apu est aux prises avec les événements, n’est pas maître de son destin. C’est la fin de l’enfance, la fin de l’absence de souci, la fin de la légèreté. Apu fait le choix des études, de la science, en lieu et place d’un destin tracé de religieux, mais il le paie violemment. Il s’installe à Calcutta, dont il fréquente l’université et visite quand il le peut sa mère, restée seule au village. Le train – motif déjà présent dans le premier volet, lorsque Apu et sa sœur, aux bords des rails, regardent passer les wagons à toute vitesse – signifie certes l’élargissement géographique, mais aussi la séparation définitive. Désormais Apu est seul. (© Festival Lumières)