UTOPIA SAINTE BERNADETTE
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Coopérative QUI VIVRA BÉRAT habitat partagé en évolution la Ménardière
Une autre façon de vivre ? Une autre façon de vieillir ? Voilà 4 ans, qu’un groupe de retraités a investi le Domaine de la Ménardière en créant une coopérative. Objectif : Vivre et vieillir ensemble solidaires et actifs jusqu’au bout du chemin. Chambres d’hôtes, Conc...

SÉANCES BÉBÉS
  Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...

30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...

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La séance du lundi 18 décembre à 20h sera présentée par Amandine d’Azevedo, maître de conférence à l’université Paul Valéry et spécialiste des cinémas indiens.

LE MONDE D’APU

(Apur Sansar) Satyajit RAY - Inde 1959 1h46mn VOSTF - avec Soumitra Chattopadhyay (Chatterjee), Sharmila Tagore, Alok Chakravarti, Swapan Mukhopadhyay...

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

LE MONDE D’APUEn 1959, Le Monde d’Apu clôt une trilogie commencée quatre ans plus tôt. Apu est désormais un jeune adulte à la recherche d’une situation. Il ne regarde jamais vers le passé, n’est pas nostalgique d’une enfance et d’une adolescence marquées par les drames. Dans ce dernier volet, le bonheur arrive par hasard, il entre dans la vie d’Apu de façon fulgurante. Celui-ci connaît le véritable amour, la plénitude. Lorsqu’elle s’installe avec lui, Apurna, bien qu’issue d’un milieu aisé, s’adapte aux restrictions. La pauvreté lui fait peur, mais elle accepte d’y faire face, pour son mari. Mais cette harmonie est fragile et rompue brutalement. Alors qu’il a jusque-là toujours fait face, Apu quitte tout, s’en va : il n’est plus capable de souffrir.
Satyajit Ray, avec une infinie délicatesse, continue à peindre sa fresque sur la condition humaine. Vie et mort font partie d’un cycle, ici interrompu – un temps – face à l’adversité devenue trop forte. Le propos est universel, la forme, poétique, est empreinte de classicisme, mais également marquée par des recherches d’une grande modernité. (© Festival Lumières)