Crève La Taule 84
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p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 115%; background: transparent }“On nous dit que les prisons sont surpeuplées. Et si c’était la population qui était suremprisonnée ?” Michel Foucault@page { size: 21cm 29.7cm; margin: 2cm }
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ENSEIGNANTES, ENSEIGNANTS ! Vous pouvez organiser des séances scolaires en matinée.
Nous pouvons organiser des séances à la carte pour vos classes, en matinée. Vous trouverez une liste des films programmables sur notre site internet, rubrique « Jeune public et scolaires »/ “D’AUTRES FILMS POUR LES SCOLAIRES” Pour les maternelles : Zébulon l...
La Ménardière : un habitat partagé en construction…
À Bérat, à mi-chemin entre l’Ariège et Toulouse, la Ménardière est un beau domaine aux multiples possibilités. Acquis en 2019 par une douzaine de personnes au bord de la retraite qui refusaient le destin peu folichon, que nos sociétés réservent à leurs vieux : ni solution privée au coût e...
Vidéo en Poche, c'est fini
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma :)Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de ...
Du 01/01/70 au 01/01/70
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Berlin, en l'an 1800 et des brouettes… Robes longues, chapeaux, jabots, fiacres et cochets… Les voilà donc ces grands romantico-comiques, ces jeunes aristocrates allemands. Toute une époque qui se décline, s'évente, se détaille de la tête aux pieds, s'ennuie… ça se languit, ça soupire, ça se désabuse. Et ça se lance dans de grandes discussions, avec des airs entendus, sur l'art, la politique, les affaires de leur monde… Et les certitudes des aînés ! Que de certitudes ! Que reste-t-il à la jeunes... (lire la suite)
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Réalisé en 1997, le film splendide de Marco Bellochio, adapté de la pièce d'Heinrich von Kleist, sort enfin en France. Surgi du cœur de la tourmente, au beau milieu d'un champ de bataille, dans une scène furtive glissée entre deux cartons de générique, le jeune prince de Hombourg entre en scène à cheval, sabre à la main, galbé dans son bel uniforme, le port altier, le regard fier. Après ce moment quasi subliminal, on retrouve le personnage hagard, perdu dans le calme bleu d'une nuit américaine, ... (lire la suite)