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Le blog des profondeurs...
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La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

UTOPIA PALMER LANCEMENT D’UN FINANCEMENT PARTICIPATIF
Pour un cinéma alternatif et vivant, sur les hauteurs du parc Palmer à Cenon, petite ville de 30 000 habitants faisant partie de Bordeaux Métropole.À l’heure où les professionnels cherchent désespérément la recette miracle du « retour du public en salles », entre prestations...

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L’INNOCENCE

(KAIBUTSU) Hirokazu KORE-EDA - Japon 2023 2h04 VOSTF - avec Sakura Andô, Eita Nagayama, Soya Kurokawa, Hinata Hiiragi... Scénario de Yuji Sakamoto. Festival de Cannes 2023, Prix du meilleur scénario. Musique de Ryuichi Sakamoto.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

L’INNOCENCELe comportement du jeune Minato est de plus en plus préoccupant. Pour sa mère, qui l’élève seule depuis la mort de son époux, tout semble désigner le professeur de Minato comme responsable des problèmes rencontrés par le jeune garçon. Mais au fur et à mesure que l’histoire se déroule, racontée successivement à travers les yeux de la mère, du professeur et de l’enfant, la vérité se révèle bien plus complexe et nuancée que ce que chacun avait anticipé au départ…



« La multiplication des regards sur des événements communs qui conduit à reconsidérer du tout au tout leur interprétation a une longue histoire au cinéma et pourrait constituer un genre de récit en soi…
« Contrairement à Rashomon (1950) d’Akira Kurosawa, chaque récit n’est pas celui de chacun, ce qui poserait la question de l’authenticité de ce qui est évoqué. Les événements sont ici reconstitués à travers le prisme d’un nouveau regard donnant lieu à de nouvelles interprétations, où chacune est presque balayée par la suivante. La mise en scène est un véritable tour de force, qui ferait presque oublier le fond du récit qui va en dernière lecture révéler un profond tabou du côté des adolescents tandis que le monde adulte se montre largement dépassé par son manque d’attention aux véritables enjeux vécus par les jeunes…
« Ce nouveau film d’Hirokazu Kore-eda est une prouesse narrative fascinante qui continue à se savourer longtemps après la fin de la projection du film. » (C. Lépine pour Le club Médiapart)