Chiche, on achète… Tous ensemble, pour que Rosmerta continue !
L’association Rosmerta est un centre social autogéré pour jeunes réfugiés, qui occupe depuis décembre 2018 un bâtiment du diocèse, au centre d’Avignon. Rosmerta lance une SCI (Société Civile Immobilière) citoyenne pour acheter sa propre maison. Rejoignez l’aventure !L’objectif est de recueillir ...
La LDH, attaquée, appelle au combat pour les libertés et la démocratie
Le ministre de l’intérieur menace de lui supprimer ses subventions, la première ministre lui reproche ses « ambiguïtés », d’autres polémistes de droites extrêmes leur faisant écho.Si on peut reprocher quelque chose à la LDH, c’est la constance de ses positions et de ses combats. Créée en 1...
UTOPIA PALMER LANCEMENT D’UN FINANCEMENT PARTICIPATIF
Pour un cinéma alternatif et vivant, sur les hauteurs du parc Palmer à Cenon, petite ville de 30 000 habitants faisant partie de Bordeaux Métropole.À l’heure où les professionnels cherchent désespérément la recette miracle du « retour du public en salles », entre prestations...
Augmentation en vue…
Voilà, c’est maintenant, on ne peut plus reculer. Tout augmente, Utopia doit s’y résoudre aussi. Plus de cinq ans (octobre 2017, la fois d’avant c’était mai 2013) que nos tarifs sont inchangés. Malgré l’inflation, la crise des subprimes, les sécheresses, les inondations, le mildiou, la dispari...
Nuno BEATO - film d'animation Portugal 2021 1h23 VF - Scénario de Possidónio Cachapa. Pour les enfants à partir de 8 ans. Musique composée par le groupe d’influence jazz Gaiteiros de Lisboa.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Beato, qui utilise de façon remarquable plusieurs techniques d’animation qui s’entremêlent : petits et grands, courez-y !!!
Rosa, jeune working-girl disciplinée et performante, est un élément prometteur de son entreprise. Dans cette ville moderne, elle se donne peu de place pour elle et n’a guère de temps à accorder aux autres. Boulot qui finit tard, trop tard, salle de sport, dance floor défoulatoire, son chat et sa plante pour seuls êtres chers vivants. L’annonce brutale de la mort de son grand-père Marcelino, sa seule famille, qu’elle n’avait pourtant plus vu depuis longtemps, est un électrochoc. Ni une ni deux, elle rentre chez elle, fourre son sac, son chat dans sa petite voiture rose et file rejoindre la propriété dont elle vient d’hériter pour la mettre en vente. Mais les affaires vont prendre une autre tournure…
Magie et enthousiasme de la scène d’arrivée dans cette région aride où Rosa sort de la voiture pour retrouver la maison de son enfance : le film réveille cette sensation de pieds nus sur la terre mouillée, tout à fait bouleversante. Rapidement, Rosa va se confronter à la petite communauté qui vit là et, ressac de lointaines querelles de voisinages, n’aimait pas trop son aïeul. Elle retrouve aussi les statuettes en terre que fabriquait Marcelino : les démons d’argile. Ses souvenirs d’enfance et des bribes de la vie passée du grand-père assaillent la jeune femme dans d’étranges rêves où les figurines inanimées prennent vie. Ce sont elles qui vont la guider, pour la réconcilier avec son passé, mais aussi avec le village – et peut-être, telle une Manon moderne, rendre aux habitants l’eau des sources qui se sont taries.
Les Démons d’argile est une œuvre tendre qui aborde avec délicatesse cette question de la capacité des personnes à guérir leurs blessures, se reconnecter avec leurs racines et, au besoin, à s’en affranchir, gagner de la paix et de la liberté.