La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...
LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...
Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ?
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...
UTOPIA PALMER LANCEMENT D’UN FINANCEMENT PARTICIPATIF
Pour un cinéma alternatif et vivant, sur les hauteurs du parc Palmer à Cenon, petite ville de 30 000 habitants faisant partie de Bordeaux Métropole.À l’heure où les professionnels cherchent désespérément la recette miracle du « retour du public en salles », entre prestations...
Le mardi 28/11 à 18h30, le samedi 2/12 à 15h et le jeudi 7/12 à 14h00
Marco BELLOCHIO - Italie 2021 1h36mn VOSTF -
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
À 81 ans (le film date de 2021), le grand Marco Bellocchio réalise un documentaire très personnel qui continue et éclaire, en les citant directement à l’écran, les films de sa trilogie autobiographique : Les Poings dans les poches (1965), Les Yeux, la bouche (1982) et Le Sourire de ma mère (2002).
« Marx peut attendre est la chronique, parfois glaçante et souvent bouleversante, d’une famille génératrice de névroses liées aux opinions conservatrices voire réactionnaires des parents, à la schizophrénie d’un frère aîné dont les cris terrorisaient les autres enfants et, surtout, au suicide, alors qu’il avait 29 ans, de Camillo, le frère jumeau de Marco Bellocchio. Au soir de sa vie, le réalisateur évoque ouvertement un sentiment de culpabilité… Il dit aussi, à l’unisson de ses frères et sœurs survivants, comment cette mort traumatisante a été en partie refoulée pour cacher la vérité à leur mère, fervente catholique qui ne pouvait accepter que son fils suicidé brûle en enfer. Comment, enfin, cette enfance marquée par la souffrance a créé chez lui un esprit de survie, qui a précipité son engagement dans le militantisme d’extrême gauche et dans la création artistique. Avec l’obsession de lutter contre tous les enfermements. » (S. Douhaire, (S. Douhaire, Télérama)