La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...
LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...
Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...
Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ?
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...
Également au programme - À MORT L’ARBITRE ! - AGENT TROUBLE - LA CITÉ DE L’INDICIBLE PEUR - LA TÊTE CONTRE LES MURS - LE TÉMOIN - UN DRÔLE DE PAROISSIEN
Jean-Pierre MOCKY - France / Belgique 1970 1h29 - avec Jean-Pierre Mocky, Anne Deleuze, Sylvie Bréal, Denis Le Guillou... Scénario de JPM et Alain Moury.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Violoniste mais aussi trafiquant de bijoux, Vincent Cabral découvre, à l’occasion d’un raid meurtrier mené par un groupuscule d’extrême gauche, que son jeune frère, Virgile, en est le chef. Afin de l’aider à échapper à la police, Vincent se lance à la recherche de son cadet et s’immisce dans l’engrenage tragique des attentats perpétrés par les révolutionnaires…
Le Mocky de la grande époque a sans doute réalisé certains des meilleurs films politiques français, maquillés en polars de série B. Solo est le premier titre, et sans doute le meilleur, d’une série de films qui traversent l’œuvre de Mocky à partir des années 70. Le cinéaste s’y attribue souvent le rôle principal. Ces films répondent à un canevas immuable : un homme seul est confronté à la corruption, à la violence et à la connerie ordinaires. (O. Père, arte.tv)