La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...
LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...
Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ?
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...
UTOPIA PALMER LANCEMENT D’UN FINANCEMENT PARTICIPATIF
Pour un cinéma alternatif et vivant, sur les hauteurs du parc Palmer à Cenon, petite ville de 30 000 habitants faisant partie de Bordeaux Métropole.À l’heure où les professionnels cherchent désespérément la recette miracle du « retour du public en salles », entre prestations...
Également au programme - L’INVAINCU - LE MONDE D’APU
(Pather Panchali) Satyajit RAY - Inde 1955 2h05 VOSTF - avec Kanu Bandyopadhyay, Karuna Bandyopadhyay, Chunibala Devi, Uma Das Gupta, Subir Bandyopadhyay... Prix du document humain Festival de Cannes 1956.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Adapté du classique de la littérature bengalie signé Bibhutibhushan Bandyopadhyay, le film est une chronique de la vie quotidienne d’une famille, le père rêveur, la mère résignée. Cette histoire de l’extrême pauvreté est ponctuée par l’apprentissage d’Apu ; les découvertes, les joies, sont vues à travers ses yeux. Film lent et élégiaque, La Complainte du sentier fait découvrir une nature particulièrement photogénique. On y ressent – sans jamais verser dans l’exotisme – le soleil, la chaleur, la pluie salutaire, mais aussi la durée, le temps, à travers la description du quotidien banal. Pour sa dimension universelle, sa profonde humanité, sa noblesse et son lyrisme, ce premier volet de la Trilogie d’Apu sera rapproché du néoréalisme italien. (© Festival Lumières)